L’ascenseur de l’hôtel est en panne… et bien sûr, je suis coincé dedans.
Coincé dans cet espace étroit depuis 5 minutes, la société de réparation a été appelée mais prévoit que l’ascenseur fonctionnera à nouveau d’ici 1 heure au mieux.
Ce qui fait que je suis coincé. Nous sommes coincés pour être précis : il y a avec moi un inconnu. Du coin de l’œil, j’estime qu’il a la trentaine, plutôt grand, un corps bien musclé. Il dégage une aura puissante. Je ne peux m’empêcher de le mater. J’ai envie de lui.
Dans cette petite cabine, difficile de s’ignorer, le rapprochement est forcé. Je sens même son odeur corporelle, un léger mélange de sueur et de déodorant. Son odeur est agréable et presque envoutante. Je culpabilise un peu à cette pensée.
Je vois que sa tête est tournée vers moi. Je me demande s’il me regarde : je vérifie en regardant dans le miroir de l’ascenseur pour essayer d’être discret, mais nos regards se croisent. Surpris, je prends peur, et je baisse immédiatement les yeux. Mince, il me regarde vraiment intensément, et je ne me sens pas trop à l’aise. Je continue à regarder mes pieds, son regard toujours sur moi. Le silence est lourd, l’atmosphère oppressante.
Soudain, je sens une pression sur mon épaule. Il s’est rapproché de moi, et sa large main est sur mon épaule. Je sursaute à ce contact. L’inconnu dit :
- Bon écoute, on ne va pas y aller par quatre chemins. Tu me regardes de biais depuis un moment, et ça a le don de m’énerver
Sa main se serre un peu plus sur mon épaule. Je bafouille :
- Je… je m’excuse, la situation me rend nerveux et je ne…
Il me coupe la parole
- La ferme. Tu parles trop. Et je sais comme te faire taire.
D’une main il me pousse et me plaque contre la paroi. Son autre main déboutonne son pantalon, et abaisse son pantalon jusqu’au genoux. Ma tête baissée, je vois quelque chose d’imposant entre ses jambes, et qui pend entre ses jambes.
Il me relève la tête, me force à le regarder. Il sourit d’un air méchant et me lance :
- Oui tu as vu ce qui va te faire taire, et crois-moi ce monstre ne va pas être tendre avec toi. Les petites soumises comme toi je les connais, ça mérite d’être plus bas que terre.
Je tremble « Je vous en prie, ça va trop vite !! »
Il déboutonne sa chemise, et son torse musclé se révèle. Une toison de poils drus va de son nombril à son sexe. Inconsciemment, je regarde à nouveau son sexe. Imposant, il commence à doucement grossir encore. Mon dieu, il est musclé mais également monté comme un taureau. J’ai chaud.
- J’avais raison. Tu ne peux même pas t’empêcher de regarder. Déshabille-toi maintenant.
Je ne bouge pas. Je veux de cet homme mais plus en douceur. Je bredouille :
- Non… prenons notre temps.
L’homme se rue alors sur moi, et d’un geste il m’enlève mon tee-shirt. Je sursaute, il déboutonne ensuite simplement mon pantalon et le fait tomber avec mon caleçon. Je suis nu.
L’homme pousse un grognement satisfait. Il me regarde, de la tête au pied. Conscient de ma nudité, je mets finalement une main sur mon sexe. Mon sexe en pleine érection, je me rends compte que je brûle d’envie pour cet homme. Il me sourit :
- Oui effectivement ton corps te trahit et me réclame. Ne t’inquiète pas, je sais comment calmer la femelle en chaleur que tu es.
Il s’approche davantage, et me plaque contre la paroi avec son torse. Immobilisé, j’essaie de le repousser mais sa force est bien supérieure à la mienne. Je gémi, mais il plaque sa bouche sur la mienne, et sa langue viole ma bouche. J’essaie de le repousser avec ma langue, mais je sens uniquement sa langue caresser ma langue. Ses mains me tripotent le dos. Une main s’approche de mes fesses. Sa main se pose sur mes fesses, et son index parcourt mon sillon. Je me contracte par réflexe. Son index court entre mes fesses, et touche mon anus, ce qui me fait me contracter davantage. Son index pousse sur mon anneau mais je résiste.
Il arrête de m’embrasser :
- Tu résistes à ton mâle, chienne ? Pas longtemps, crois-moi, tu vas t’offrir tu verras, et tu couineras pour moi.
Il enlève son index, et le mets dans ma bouche. Il ressort son index humide, et le repose sur mon anus. Il pousse à nouveau, je résiste encore, pour le frustrer. Puis je me sens défaillir, et son doigt fini par rentrer. Je laisse échapper un « Ah ! ».
Son index entre peu à peu. Je ressens une simple chaleur, aucune douleur.
Son index ressort, et rentre accompagné d’un 2e doigt. Quelques va-et-vient, puis un 3e doigt s’y met. La chaleur est de plus en plus forte. Je gémis.
- Hum ça commence à te plaire on dirait ? Tu te fais doigter par un inconnu et tu bandes bien dur ? Dis-moi que tu aimes ça.
Je ne réponds pas. Je ne lui dirai pas, je ne le laisserai pas profiter de la situation. Devant mon silence, il grogne
- Ah tu résistes ? Bon, c’est l’heure de la punition.
Il quitte mon anus, et pose ses 2 mains sur mes épaules, tout en me forçant à m’abaisser. Je résiste, mais il est trop fort, je finis à genoux devant lui. Ma tête à haute de son sexe, qui a encore pris du volume depuis.
Puis je vois son bassin approcher. Son sexe se rapproche et est à quelques cm de ma bouche. L’odeur devient plus forte, et je sens sa sueur. Mes narines se dilatent pour respirer davantage son odeur et respirer. Sans faire exprès, ma bouche s’ouvre. Mon corps a inconsciemment voulu de cette grosse bite en moi. Son sexe rentre alors en moi. Ou plutôt, juste son gros gland, le reste coince car trop gros.
L’homme me caresse la joue
- C’est bien. Mais comme tu as été méchant, tu vas devoir te faire pardonner.
Ses mains maintiennent alors ma tête, et son bassin avance. Sa bite rentre en moi, cm par cm. Ma bouche est tendue au maximum. Je bave de plus en plus, j’ai du mal à respirer. Je pose mes mains sur ses cuisses pour le repousser mais rien n’y fait, sa queue continue sa pénétration. J’étouffe. Son gland touche enfon mon fond de gorge, et mon nez et collé sur son bassin. Sa bite entière est entrée.
L’homme pousse un soupir de plaisir « Là, c’est bien… oui, prends soin de ma queue. » Il reste au fond de ma gorge. J’étouffe vraiment, j’essaie de plus en plus de le repousser.
- Reste tranquille, salope !
Il reste encore 5 secondes au fond puis finit par reculer entièrement. Je reprends mon souffle, de la bave coule abondamment de mes lèvres et de sa queue. Je me sens soumis. Sa queue est dressée devant moi, et touche mon front. Il prend sa queue, puis caresse mon visage avec sa bite. Son gland se pose sur mes lèvres puis repars caresser mon visage. La salive qui était sur sa bite me couvre les joues.
- Lève-toi, dit-il. Et retourne-toi.
Je n’ose plus désobéir. Je me lève d’un coup et lui montre mon dos. Nous sommes en face du miroir de l’ascenseur. Je le vois et l’entends cracher sur sa bite, et approcher de moi. Il continue d’approcher doucement sa bite dressée vers mes fesses. Son gland disparait, caché par mes fesses, et je le sens posé sur mon anneau. Je me contracte à nouveau par réflexe.
Il lève les yeux, et nous nous regardons dans le miroir. Il sourit d’un air conquérant. Il a l’air tellement sûr de lui, tellement puissant, et son sourire me fait fondre. Je me sens réellement soumis à cet homme.
- Tu vois, dit-il, toute ta vie a été faite pour ce moment. Je vais t’empaler, et faire de toi un homme soumis. Le veux-tu ?
- Oui, dis-je.
- Pour la prochaine heure, tu seras mon garage à bite.
- Oui, dis-je dans un souffle.
- Bien. Maintenant ferme là, et prends ça, sale pute.
Sa bite appuie fortement. Mon anneau résiste. Durant 3 secondes, je réussis à lutter contre ce monstre. Puis, je cède, et sa bite rentre, et la moitié de son gland me viole. Je crie « Ah » et je gémis, mais rapidement il pose une main sur ma bouche pour me faire taire.
- Ta gueule. C’est pas fini.
Il avance encore. Sa bite rentre de plus en plus. Chaque cm me dilate et m’écartelle. Il s’arrête alors que je me sens découpé en deux
- Voilà, on en est déjà à la moitié. Je suis fière de toi, ma petite chienne
Je panique. Je lui dis en gémissant « La moitié ?! Mais ça ne rentrera jamais ! Stop, je t’en prie ! »
Il continue d’avancer. Je crie à nouveau
- Non. Tu es ma femelle, et je te féconde comme telle.
Je me débats. Il me tient les bras, impossible de bouger. Sa bite continue son entrée
- Je te féconderai et t’inonderai de jus. Pour ça, tu dois prendre ma grosse bite en entier. Tu y es presque.
Sa bite avance encore. Je ne me débats plus, vaincu. Mon anus se décontracte, et laisse rentrer ce monstre de chaire. Finalement, il ne bouge plus, et je sens ses couilles contre moi.
- « Là, tu vois que tu y arrives ? Hum ma bite est si bien en toi… »
Il reste en moi sans bouger. Je m’habitue peu à peu à sa bite en moi. Je ne ressens pas de douleur, et presque plus de gêne. Puis, il recule doucement de quelques cm, et se ré enfonce à nouveau. Il entame un léger va-et-vient. Sans pouvoir me contrôler, mon bassin accompagne ses mouvements et j’amplifie ses va-et-vient. Je sens une chaleur et un plaisir commencer peu à peu au fond de moi.
L’homme me claque les fesses d’une main, et grogne « On dirait que tu en veux plus. Tu as raison, je vais arrêter d’être gentil et je vais te démonter. Regarde le miroir, et voit comment un mâle féconde sa salope ! »
Il sort sa bite d’un coup. Je me sens vide, mais il la re-rentre aussitôt violemment. Il accélère la cadence et sa bite me ramone sur toute sa longueur. Il me prend profondément, son gland tappe ma prostate et me fais perdre la tête. Je tourne les yeux vers le miroir, et je le vois planté en moi, sa queue entrant et sortant au rythme de son bassin. Je vois ma queue bandée au maximum, avec un filet de sperme ou de précum qui coule, et à chaque coup de bite profond que j’encaisse, un peu plus de sperme coule de mon gland, et tombe jusqu’au sol. Une petite flaque finit par se former au sol
- Mais tu mouilles pour moi dis-donc ? Tu es bien un soumis qui a besoin de ma queue pour jouir. Tiens, prends mes coups de bite et jouis avec. Je vais taper ton point G sans pitié et te faire jouir comme ma femelle.
Ses paroles amplifient mon plaisir. Je gémis, la puissance de cet homme m’excite. Il sait que je suis soumis à lui. Ses coups sont tellement forts qu’il me soulève un peu à chaque fois, je dos me tenir aux parois de l’ascenseur pour garder mon équilibre.
Nos s’entrechoquent selon un rythme régulier, ses couilles tapent mon bassin en claquant « clap, clap, clap… », sa bite me perfore et ma prostate est en feu sous ses coups.
Je gémis de plus en plus. Je sens son souffle fort sur moi, il grogne de plaisir.
Je chuchote « Tu vas me faire jouir mon homme »
- Je suis ton homme alpha. Ma bite te fait jouir et c’est normal
Les coups continuent. Je sens ma tête tourner. Il accélère le mouvement et grogne de plus en plus fort.
- Je vais féconder ton cul de femelle !!
Je contracte mon anus pour enserrer davantage sa bite et le traire. J’ai envie de son jus en moi. Soudain il passe ses bras sous mes aisselles et me soulève, et il me porte en face du miroir. Mes pieds ne touchent plus le sol, mes jambes sont levées et je fais face au miroir où je vois sa bite plantée en moi qui me porte, mon visage rougi de plaisir, ma queue bandée pleine de mouille et je vois mon homme qui souffle comme une bête en me baisant. Il me fait monter et descendre rapidement sur sa queue, jusqu’à encore sortir et re rentrer. Dans le miroir, je vois sa bite qui rentre en moi, puis ressort et laisse mon cul béant, ravagé par sa bite, puis son sexe qui re rentre profondément en moi. Entre 2 souffles puissants, mon assaillant me regarde dans le miroir, et dit :
- Putain mais regarde toi : je te détruits le cul et ça te fait jouir. Continue de bien prendre ton pied, je vais bientôt t’engrosser.
Je contracte mes jambes. Le plaisir est de plus en plus grand. Je commence à trembler. En me voyant défaillir, mon baiseur m’encourage « Va y salope ». Je me mords les lèvres, une vague de plaisir va survenir. Les coups de bassin sont rapides, nos jouissances vont se coordonner. L’homme respire fort. Mon plaisir augmente, augmente et finalement je crie ! Ma prostate bourinée me fait jouir, et mon sexe commence à laisser couler son sperme.
Pendant que je jouis, mon homme grogne fort « Putain je vais te remplir, prends ça !!! » et il pointe sa bite profondément en moi. Nos jouissances simultanées s’amplifient, et nous gémissons ensemble. Sa bite s’agite et se contracte, je sens un flux de sperme me remplir, et sa jouissance déclenche la mienne. Il sort sa bite et continue de juter, 2 jets de sperme tâchent le miroir et mon cul dilaté laisse couler son sperme.
Il me laisse tomber doucement sur le sol. Souillé, épuisé, je m’assois contre le mur de l’ascenceur.
A ce moment, l’ascenseur se met à bouger et la porte s’ouvre sur un couloir de l’hôtel vide.
L’homme me lance un simple salut et s’en va en direction de sa chambre.
J’espère le revoir.
Vens
