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Agriculteur | S15 Joris

10 | Fier de ma réussite – Le récit de Joris

Cependant le Capharnaüm, que je me plais à dériver en capharn-à-hommes, n’ouvre qu’à partir du jeudi et je n’ai d’autre exutoire à mon impatience que cette carte de visite dont je ne sais ce qu’elle me réserve. Après les cours, elle me mène dans le centre ancien, dans une rue commerçante secondaire, aux antiques façades bancales et hâtivement rafistolées. Au numéro indiqué, je pousse la porte d’une boutique de tatouage à l’étroite vitrine dépolie par un film adhésif. A l’intérieur, un jeune homme dégingandé vêtu de noir, aux cheveux trop bruns hérissés de gel lève vers moi un visage de poisson constellé de piercings nickelés. J’agite la précieuse carte et m’efforce de prendre une voix décidée.

- « Bonjour, un ami m’envoie ici pour rencontrer le patron. »

Sans un mot, il me considère de la tête aux pieds, se lève et disparaît derrière un rideau qui masque un couloir. Quelques minutes plus tard, il l’écarte à la volée pour revenir s’asseoir et, indifférent à la suite, reprend son portable à deux mains, tapotant l’écran de ses deux pouces agiles.

Mais un homme s’est silencieusement encadré dans l’ébrasement de la porte dérobée. Sans un mot, il prend le temps de m’examiner, et moi en retour. Il me paraît avoir environ quarante ans, à peine plus grand que moi. Il est très brun, légèrement dégarni et corpulent, la lèvre barrée d’un grosse moustache, vêtu d’une chemise et d’un pantalon de toile, ses bras croisés sur sa poitrine me laissent voir sa main gauche portant une large alliance en or. A son sourire en coin, je présume que son examen n’est pas trop défavorable.

- « Tu voulais me voir ? »

La voix est basse, presque sourde. Je me lance.

- « Oui. Un ami m’a invité à venir vous voir. »

- « Ah ! Et qui est-il cet ami ? »

Évidemment ! Me voilà précisément confronté à une des questions que je redoutais car, à bien y réfléchir, je ne sais rien de lui.

- « Il est un peu plus grand que moi, la trentaine, châtain ... »

Ma main donne une mesure. Là, son front se plisse et ses yeux s’affinent.

- « Mais tu le connais d’où cet ami ? »

Je sais que ce que je vais prononcer est une sorte de mot de passe, quelque chose qui me dévoile. J’en appréhende les conséquences et je sens le sang affluer à mes joues.

- « Du Capharnaüm. Il m’y a donné votre carte, il y a quelques jours. »

Il a hoché la tête, s’est effacé dans l’ouverture et me fait signe de le rejoindre. Il a gardé le bras levé et, à mon passage, l’enroule autour de mes épaules pour m’arrêter. Dans cet espace étroit, cette pénombre derrière la tenture, je le sens se coller étroitement à moi.

- « Et tu es un habitué du Capharnaüm ? »

Je secoue énergiquement la tête en signe de dénégation mais, pris de remord, j’ajoute :

- « J’y vais quelquefois. »

Gardant son bras autour de mes épaules, il m’engage déjà à avancer dans le couloir mais, d’un coup, il se bloque, bascule son buste vers l’arrière et articule nettement.

- « Si on me demande, je suis sorti, compris ? »

Comme un vague grognement lui répond, il se rétablit en se frottant lourdement à moi, me bousculant pour me rattraper d’une main qui erre dans mon dos avec un ricanement. Il dégage une douce odeur de tabac aromatique et son corps est ferme. Il me pousse devant lui, je dépasse deux cabines, franchis une porte donnant sur une cour encombrée de conteneurs à déchets. Il se penche pour ouvrir une autre porte devant moi et entre sur mes talons dans ce qui me paraît être une réserve encombrée de vêtements du sol au plafond.

- « Si tu m’en disais un peu plus sur cet ami ... »

- « Il est grand comme ça … »

Je rassemble désespérément mes souvenirs, je n’ai pas même un prénom, ah, si !

- « C’est un ami du patron qui l’a appelé : mon Philou. »

Mais devant le sourire sarcastique qui me répond, je vois bien que je n’ai aucun indice crédible et je passe un des moments de confusion des plus pénibles lorsque :

- « Il est très poilu ! »

J’ai relevé la tête dans le silence qui suit et je vois ses deux mains, ses grosses pattes aux doigts poilus parés d’or se porter à son col et défaire posément, un à un, tous les boutons de sa chemise, en extraire un pan puis l’autre de la ceinture, les écarter, dégager les épaules, retirer le vêtement et le poser avec précaution sur un carton, puis se remettre face moi qui reste sidéré, se pencher, attirer à lui une de mes mains puis l’autre qu’il pose dans l’incroyable fourrure sombre qui lui recouvre le ventre et le thorax.

- « Et tu aimes les poils ! »

Mes mains sont prises de tremblements, elles s’enfoncent dans cette toison souple pour la herser lentement et je souffle un « oui » presque inaudible tant je suis fasciné par le contact de son extraordinaire pilosité, une crinière royale et soyeuse, pour moi qui suis aussi lisse qu’un œuf. Il gonfle ses poumons, rentre son ventre, déboucle sa ceinture, s’incline, perché sur un pied puis l’autre pour retirer son pantalon -et j’ai alors confirmation que le côté pile, son dos, est tout aussi velu que l’autre- qu’il plie avec soin et écarte.

Puis il se campe toujours face à moi, ses mains s’emparent à nouveau des miennes pour les déposer une à une sur lui puis elles reviennent encadrer ma tête et la guider, enfouir mon visage dans son abondante fourrure. Il lève ensuite un bras et, sa main en coupe soutenant ma nuque, encastre mon visage sous son aisselle moite. L’odeur musquée m’enivre aussitôt.

Je darde d’abord rapidement la langue, détendant mon cou, puis je le lèche franchement, j’y mets de plus en plus d’avidité, récoltant ses murmures approbateurs. D’une pichenette, il me renvoie sous son autre bras et, cette fois, je le lape avec ferveur, sans attendre. Toujours me guidant à deux mains, il m’offre un de ses tétons puis l’autre en gémissant sous mes aspirations sonores. Il m’arrache soudain à ces succions pour planter ses yeux étincelants dans les miens.

- « Maintenant, suce-moi la queue, jeune veau. »

Et il me fait agenouiller devant son slip déformé par sa trique. Je lève les yeux vers lui, au-dessus de moi pour m’assurer que je réponds au mieux à ses attentes sans le contrarier en rien. Mes doigts crochètent l’élastique plat, l’écartent et, d’un trait, j’aspire sa bite tendue aussitôt que libérée. Des deux mains, il me maintient quelques secondes le nez dans la touffe de son pubis à m’étouffer puis joue avec ma tête comme d’un ballon en dribble au basket, ne me laissant jamais un instant tranquille pour pouvoir m’exercer à le pomper correctement, mais me pressant le visage deçà delà sur ses parties intimes pour ma plus grande confusion.

Puis il me prends par la main et m’entraîne jusqu’à un canapé qui disparaît sous les emballages divers qu’il balaie et fait voler de gauche et de droite avant de se laisser lourdement tomber sur l’assise, les bras écartés sur le dossier. Je m’écroule à genoux quand il me retient du bout du pied puis il m’en donne une bourrade avant de le maintenir en pression sur mon torse. D’abord interloqué, je réalise qu’il porte toujours sa chaussette, je la retire en l’enroulant et j’embrasse spontanément son cou de pied couvert de poils drus.

Il m’écrase alors sa plante de pied sur le visage et j’imagine qu’il attend probablement que je la lèche. Je m’exécute non sans vérifier d’un coup d’œil que son sourire exprime bien de la satisfaction. Quand il me présente son second pied, je peux déjà faire montre d’un savoir faire qu’il encourage de murmures repus.

Mais il me retire ces jouets dont je commence à me régaler et, vautré en pacha sur le divan, la bite dressée, me contemple à genoux à ses pieds. Mon incertitude semble le faire jubiler.

- « Dis-moi, combien de fois es-tu réellement monté dans le labyrinthe du Capharnaüm ? »

Je m’affaisse et baisse les yeux, confus de devoir avouer une si courte expérience, les relève, bafouille.

- « Deux fois. »

- « Et toujours avec ce même ami qui t’envoie vers moi ? »

J’opine sobrement du chef et il sourit.

- « Bien ! Je préfère les débutants, pas trop ouverts et un peu maladroits. Déshabille-toi maintenant ! »

Je me redresse, arrache mon polo par dessus ma tête puis, me souvenant du soin avec lequel il a plié ses propres vêtements, je l’étale sur l’arête d’un carton ouvert. Il s’est levé, toujours la bite au garde à vous, sombre matraque que je guigne du coin de l’œil, et s’approche. Du bout des doigts, il parcourt mon torse, saisit mon téton entre son pouce et son index replié provoquant un net appel d’air. Il m’observe et bascule la prise sur son ongle. Me voyant suffoquer, il insiste, joue, s’amuse.

- « La suite ! »

Je déboutonne mon pantalon, ouvre largement la braguette et, sans rien faire de plus, l’ensemble cascade sur le haut de mes cuisses, je me redresse, ma queue arrogante brandie. Il ricane.

- « Ta bite, je m’en fiche ! »

Se penchant sur un pied, il me souffle :

- « Seul, compte le plaisir que donne la mienne, tu verras !

J’ai dit : à poil ! »

Je me précipite, prenant toujours soin de mes frusques, réfléchissant que, trop froissées elles m’attireraient des questions malvenues à mon retour puis je me redresse, nu et raidi comme au garde à vous. Il tourne autour de moi, ses mains me parcourent, me palpent, pincent mes formes et je redoute sa sentence qui tarde. Il me saisit le bras, me fait avancer jusqu’au canapé, m’y installe à genoux face au dossier. Ses larges mains caressent ma croupe, la pressent, la fendent et son pouce vient peser à sec sur mon anus que je ne peux empêcher de se contracter.

- « Et mon fameux ami, il t’a toujours baisé avec une capote ? »

Quand j’ai soufflé « oui », il a mis un genou sur l’assise, un coude sur mon dos et s’est penché à mon oreille.

- « Et, à part lui, qui t’a niqué ? »

- « Personne d’autre … Jamais ! »

Un raclement de gorge et sa main remonte ma raie, l’enduisant abondamment de salive puis un gros doigt fore ma pastille, ressort, revient, s’enfonce et touche. Un éclair. En revenant à moi j’entends qu’il rit. Il me prend par le bras et me conduit devant un placard :

- « Ouvre ! »

Devant mes yeux ébahis, les étagères croulent sous des objets dont j’ignore à peu près tout à l’exception du moulage dressé et suggestif d’une bite en plastique rose vif qui me paraît gigantesque, d’autres qui me paraissent incongrus comme ce masque de chien.

Il me regarde en souriant.

- « Il y a ici de quoi faire ton éducation, si tu es un gentil garçon. »

Sa main est revenue courir dans mon dos, sur mes fesses, légère et virevoltante. J’en frissonne et il insiste, glisse un doigt dans ma raie. Il s’empare d’un flacon, referme la porte ; d’une main dans le dos qui m’électrise, il me ramène au canapé sur lequel il me fait monter, en travers, à quatre pattes puis il s’assoit à mon côté et, de sa main pressant ma nuque, il me positionne pour l’adoration de sa bite. Elle redurcit aussi sec et il m’encourage de ses murmures, m’indiquant combien il apprécie mes caresses buccales et mes lècheries diverses.

J’en profite, jouant de mes appuis pour libérer un bras et parvenir à infiltrer mes doigts dans cette fantastique jungle sombre qui couvre ses cuisses et son ventre sans m’alarmer quand un crissement m’indique qu’il vient d’actionner la pompe du lubrifiant.

Je bascule vers l’avant pour engloutir son membre aussi profondément que je peux en relevant ma croupe qui se fend et s’offre à son doigt inquisiteur. Je suspends mes mouvements pendant qu’il l’introduit, lentement, dans un glissement voluptueux qui me remplit, me comble.

Il le retire aussitôt pour revenir masser mon sphincter en tournoyant. Et il pique. A deux ! Il s’amuse à me travailler tantôt d’un doigt ou de l’autre, tantôt avec deux et mes sursauts le font glousser. D’une petite tape, il rabat alors ma tête sur sa bite et je reprends ma pipe, appliqué à lui procurer des apnées en réponse à mes brusques suffocations.

- « Putain, il faut épouser une femme pour avoir des enfants mais rien de meilleur qu’une salope de petit pédé dans ton genre pour réjouir la queue d’un homme. »

Il a prononcé la fin sur un ton un peu précipité en bondissant hors du canapé tout en m’y maintenant d’une pogne. Il me retourne, en appui des deux épaules sur le dossier, place mes genoux au juste écartement au bord de l’assise, maintient ma taille d’une main et guide sa queue de l’autre. Il m’attire lentement à lui et je la sens m’envahir laborieusement, me remplir presqu’à l’étouffement. Mais, malgré la tension, mon cœur en bondit de joie.

- « Salope, avec ton beau gros cul, t’es juste serrée comme j’aime. »

Il m’écrase maintenant de toute sa masse, pesant pour s’assurer que tout son barreau est bien carré en moi, aussi profond qu’il le peut puis il entame le limage, concluant chaque retour d’une détente sèche qui claque sur mon cul et m’envoie une alerte électrique dans la moelle épinière. Il me bourrine avec des râles de plus en plus rauques et d’un seul coup, se campe et me secoue de plusieurs décharges. Aussitôt, il me fiche à bas du canapé pour s’écrouler à ma place libérée, il étend le bras et sa grosse paluche ramène ma tête à lui.

- « Nettoie »

Alors je lape les traces de son foutre, suçotant son gland glaireux dont je découvre qu’il est circoncis, sa queue désormais flasque, n’osant pousser plus loin. Il allonge sa jambe contre moi et d’une taloche sur la nuque, il m’intime :

- « Branle-toi »

Je saisis ma bite que j’agite frénétiquement, les yeux clos, en me raccrochant en urgence à son mollet velu jusqu’au plaisir qui me soulève rapidement. Je m’effondre mais il me secoue.

- « Nettoie ça aussi. »

Je m’exécute incontinent, vautré sur le vieux parquet, étreignant sa jambe à deux mains pour y lécher les estafilades laiteuses que j’y ai laissées du plat de la langue comme un chien fidèle mais il se penche sur moi, me fouille le cul de son doigt et me le présente. Sans barguigner, je l’avale pour le recracher lentement, les lèvres serrées, les yeux levés vers lui qui jubile.

Il porte les yeux sur la lourde montre en acier à son poignet.

- « C’est dommage mais je dois y aller, sinon je t’aurais bien offert la deuxième tournée. Bon, si tu entres dans le magasin de vêtements, on se connaît pas. Mais si t’as aimé te faire sauter, tu peux revenir par la boutique de tatoo … Au fait, que t’a dit cet « ami » à propos de tout ça ? »

Le front plissé, l’index tendu, il fait tourner sa main plusieurs fois autour de son poignet ceint du lourd bracelet d’acier de sa montre. J’hésite à comprendre.

- « Euh, il m’a dit que vous seriez … « secourable » ... si j’étais gentil avec vous. »

Il s’esclaffe.

- « Secourable ? Elle est bien bonne. Et toi, tu attends quoi ? »

Il m’interroge d’un coup de menton décidé mais je reste interdit. Son sourire s’adoucit et il me tape sur l’épaule.

- « Je me demande si t’es pas juste un bon gars, toi. C’est bien dommage parce que je pense que ça va pas durer ! »

Ce disant, il s’est saisi d’une serviette, s’est frictionné puis l’a roulée en boule et me l’a lancée pour que je me nettoie à mon tour. On se rhabille et il me raccompagne jusqu’à la petite boutique. Le dadais hérissé est toujours penché sur son portable.

- « Au fait, tu t’appelles comment ? »

- « Joris »

- « Comme tu voudras ! Je t’appellerai donc Joris. »

- « Mais c’est vraiment mon prénom ! »

Il m’a regardé avec une attention pesante pendant ce qui m’a semblé durer longtemps puis il m’a souri et m’a fait un salut militaire de la main. J’ai réussi à rejoindre ma chambre sans me faire remarquer et je ne suis descendu que pour le dîner. Ma mère m’a regardé en fronçant les sourcils.

- « Je ne t’ai pas entendu rentrer, Joris ? Quelle heure était-il ? »

- « On a formé un groupe pour préparer le concours d’éducateur spécialisé, maman. Je me suis attardé à discuter. »

Après l’obtention du bac, je tardais à trouver ma voie, restant à la charge de mes parents. Son regard s’est adouci.

- « Je suis heureuse que tu cherches sérieusement à te construire un avenir, mon fils. »

Et j’ai eu honte.

J’avais toujours été un garçon sage, un élève moyen mais appliqué et un peu solitaire, un fils loyal, serviable, même si j’avais pu, parfois, m’élever contre certaines exigences parentales, or je me surprenais pour la première fois en flagrant délit d’abuser sciemment de sa confiance.

Alors je me suis fait un serment ; je ne serai pas le fils dont ils ont rêvé, mon cul endolori mais comblé en témoigne, mais au moins pourront-ils être fiers de ma réussite professionnelle car ce fichu concours pour entrer en formation d’éducateur spécialisé, je comptais bien me donner les moyens de le décrocher.

Amical72

amical072@gmail.com

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