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Agriculteur | S15 Joris

6 | Samson – Le récit de Julien

Je suis retourné m’étendre sur ma serviette et retrouver le taciturne commissaire Erlendur de la police de Reykjavík, hanté par son enfance dans les contrées sauvages et reculées des fjords de l’est. Le choix de cette clairière ensoleillée, un peu à l’écart, préserve ma quiétude et je peux m’abstraire de la chaleur qui m’environne confortablement et, dans cette douce sécurité, frissonner à l’évocation des brumes islandaises et des grandes falaises de basalte noir.

Soudain deux grands pieds se plantent dans le sable à quelques centimètres de mon épaule.

- « Qu’est-ce que tu lis qui a l’air si passionnant ? »

En appui sur mes deux coudes, j’ai simplement tourné la tête vers le haut, le regard remontant le long des mollets pour découvrir une sorte de colosse souriant ; sa tête, auréolée d’une chevelure abondante et d’une barbe plus claire, toutes deux ondulées comme celles d’un pâtre grec, est inclinée vers mon livre. Je roule sur le côté pour examiner plus commodément celui qui trouble ma lecture, ma main étayant ma nuque sur mon bras en triangle, l’autre cassant la reliure pour conserver ma page ouverte.

La silhouette est un peu lourde, une vague forme de guitare se dessine autour de son nombril en guise de rosace et, quand il s’accroupit en équilibre sur ses pointes de pieds, ses avant-bras se posent sur ses cuisses finement poilues, laissant pendre entre elles deux grandes mains. Je note un triangle, pointe en bas, semé de poils frisés et châtains, très haut sur son torse, courant d’une clavicule à l’autre, là où s’ouvrent les cols, sur une impression trompeuse car sa poitrine est glabre par ailleurs, à l’exception d’une fine couronne autour de ses aréoles larges, roses, pincées par le relâchement des pectoraux et, -je me surprends là en plein inventaire !, probablement tendres et sensibles pour qui sait ...

Mes yeux amusés remontent croiser les siens, qui le sont tout autant ; je me doute qu’il s’est livré au même exercice.

- « C’est un roman policier islandais ; tu connais ? »

Il remue la tête latéralement et son sourire s’épanouit sur une jolie denture, alignée en arc parfait, aux petites dents festonnées, qui lui conserve un air juvénile que contredisent ses traits affirmés de probable trentenaire. Ses yeux pétillants achèvent de me le faire trouver charmant.

- « L’enquêteur est obsédé par le deuil et la disparition et il m’embarque avec sa nostalgie. »

- « Ah ... »

Je présume que l’intérêt de ce grand gaillard pour la littérature nordique n’est, purement, que de circonstance mais qu’importe. Joignant mes jambes, je les retire vers le bord extérieur de la serviette et l’enjoins de s’asseoir sur la partie ainsi libérée d’une simple injonction rapide de l’œil. Il se laisse choir un peu lourdement sur une fesse, le mouvement soulevant avec ses pieds, une vague de sable qui éclabousse mon livre et engloutit l’angle de ma serviette.

J’ai promptement soulevé l’ouvrage pour le débarrasser des grains importuns quand il s’est précipité pour balayer de la tranche de chacune de ses mains ceux qui ont envahi l’éponge, bafouillant de vagues excuses pour sa maladresse, agitant les boucles de sa chevelure hirsute au ras de mon nez ; il sent bon le propre et le chaud.

Il a secoué puis soigneusement tiré sur la lisière pour retendre le tissu et, toujours à quatre pattes, relève son visage, alors tout près du mien, toujours souriant, mais la pupille troublée par l’ironie qu’il lit dans les miennes. Incertain, il retombe un peu lourdement sur ses fesses et son bras tendu en étai le retenant, son poids repoussant ses doigts dont l’extrémité atteint ma cuisse. Il les replie prestement mais j’avance ma jambe pour rétablir ce contact.

Sans un mot mais en l’interpelant du menton, toujours avec le sourire.

Il baisse alors la tête, me gardant dans son champ de vision filtré par ses sourcils.

- « Tu lis depuis un bon moment déjà ... »

- « Et ? »

- « Et j’espère que tu as suffisamment repris des forces ... »

Il me suffit de remonter légèrement le menton pour l’encourager à poursuivre. Son sourire s’élargit.

- « Je t’ai vu, tout à l’heure, sous l’arbre. »

Mon immobilité est une réponse. Cependant elle reste ambiguë. Il bascule sa masse pour soulager le bras sur lequel il est en appui et, ses yeux basculant alternativement des miens à ma queue, il hasarde timidement ses doigts jusqu’à ce qu’ils effleurent ma demi-molle. Je lui sais gré de cet ajustement permanent qui court de l’un à l’autre, aucun de nous deux n’ayant à se sentir en permanence autorisé dans ses entreprises.

Ma main vient emprisonner son poignet.

- « Dis-moi d’abord que tu n’es pas pressé, que tu ne dois pas rapidement aller prendre ton service ou qu’un conjoint jaloux t’attend dans cinq minutes, toilette sommaire comprise ... »

Il s’esclaffe et se jette à plat dans le sable, la bouche béante pour s’emparer de ma bite qu’il aspire goulûment.

Une fois de plus, j’ai trahi mes résolutions et abandonné Arnaldur Indridason à sa quête de lui-même pour me concentrer sur la délicieuse pipe que ce Samson m’administre savamment. Et je dois dire qu’il est tout à fait convaincant et plein d’une énergie communicative.

Rapidement, mes mains sont venues confirmer mes pronostics : ce grand garçon est confortablement matelassé sur un corps ferme et tonique et ses tétons sont un de ses points faibles, une sorte d’interrupteur par suffocation.

Et je profite de sa bouche ouverte en Ô pour goûter à sa science du baiser, il est à son image : ferme et velouté à la fois. Ma main glisse de son épaule le long de son dos pour trouver quelque savane dans ses reins où s’emmêlent mes doigts. Ils s’égarent en cascadant et c’est sa main qui les guide jusqu’au nid douillet qu’abritent ses belles fesses tandis que ses yeux de cocker sous son front plissé en supplique m’interrogent. Me supplient ?

Je préfère penser qu’ils m’invitent et anticipent déjà l’extase attendu et partagé.

Le coquin, il est déjà lubrifié. Mon index l’enfile facilement puis en duo avec son voisin, le fait s’offrir en épanouissant sa croupe quand ses yeux fondent en caramel épicé.

- « Où sont tes affaires ? »

De la tête, il me désigne un sac dissimulé sous les taillis tout proches.

- « Tu préfères rester ici ou aller à couvert ? »

Il bondit sur ses pieds me tendant sa grande main pour m’aider à me relever, joyeux et plein de vie. Toujours ce sourire lumineux. A moi aussi, il semble qu’une discrétion de bon aloi nous ouvre à une plus grande liberté – c’est à dire, en la matière, à plus de licence.

J’ai, aussi rapidement que possible, rassemblé mon barda et lui ai emboîté le pas, un pas que le sable sec rend plus laborieux ; devant moi, il roule des hanches et des épaules, pieds en canard et pesant sur ses cuisses, la taille marquée de deux plis souples qui se drapent alternativement d’un côté puis de l’autre, tandis qu’il se redresse en périscope pour trouver le fourré idoine pour abriter nos ébats.

Moi, je m’en fiche !

J’ai juste le souhait de le voir jouir, ce grand escogriffe un peu balourd au yeux coquins et joyeux, le regarder gagné par cette petite grâce, ce frisson d’envol, fragile.

Sans cesse, en cheminant, il se retourne vers moi, me sourit et son air allègre me contamine et m’enflamme ; est-ce sa stature robuste qui me délivre de toute crainte de jamais le casser ? Est-ce la spontanéité de son entrain? Est-ce d’avoir déjà copulé avec le cycliste qui m’a libéré de toute pression, de tout sentiment belliqueux ? De lui, j’ai simplement, joyeusement, ENVIE !

Notre gîte choisi à l’abri d’un bosquet, il extrait de son sac un grand carré molletonné qu’il écarte et sur lequel il déboule, comme un catcheur sur le ring : jambe fléchies, bras à l’équerre, paume des mains se faisant face, prêt à me flanquer à terre mais son regard rivé sur ma bite désigne l’objectif. Il tombe à genoux, engloutissant mon barreau d’un seul coup, ses bras, ses mains enserrant ma taille pour la fixer.

Et cette bouche fraîche est comme un doigtier tout de douceur, un flot de caresses soyeuses mais fermes dont la houle m’emporte irrésistiblement. Mes doigts plongés dans ses cheveux bouclés accompagnent ses mouvements et je me sens chahuté en tous sens par les assauts voluptueux qu’il me prodigue, à en perdre le nord, à devoir me raccrocher aux branches, à être ébloui par les étincelles qui piquent le noir derrière mes paupières.

Il s’est tassé, son cou cassé vers l’arrière, son menton soulevant mes couilles, ses deux mains arpentant mes cuisses ; ma bite baveuse barre son visage hilare, en travers de son sourire enfantin, entre ses yeux rieurs et il me murmure comme une confession :

- « Prends-moi ! »

Un gosse qui exige le cadeau promis ! Je desserre mon poing et je fais surgir l’étui magique entre pouce et index. Je le vois se troubler ... puis se reprendre et s’en emparer, gaillardement. Ne pouvait-il se douter que moi aussi je ne pensais qu’à « ça » et que j’anticiperais sa demande ? Il me suce religieusement le membre sans me quitter des yeux puis déroule le latex avec application, s’en tapotant la joue à deux ou trois reprises avant de rouler sur le dos.

Son coude enferme sa jambe gauche, genou à l’épaule, sa cuisse droite s’ouvre et sa main recouvre ses organes pour m’ouvrir une voie royale, étirer la pente lisse et directe de son périnée vers l’entrée brune de son intimité offerte.

A genoux, je bascule sur lui, me retenant d’un bras tendu et rabattant mon épieu vers sa cible de l’autre, l’extrémité de ses doigts venant judicieusement à mon secours. Ses yeux pétillent et sa langue danse entre ses lèvres alors que je plonge en lui comme dans une eau chaude.

Merveilleusement chaude et ses yeux me disent sa fierté de m’accueillir aussi somptueusement, d’aussitôt m’envelopper de ses soieries tout en me dévorant avec gourmandise. Son bras autour de mon cou, il soulève ses épaules pour emmêler sa langue à la mienne que je lui abandonne, tout concentré que je suis sur mes lents coups de reins dont je sens qu’ils le ravagent tant qu’il en suffoque, enserrant plus étroitement mon cou, la bouche à mon oreille.

- « Baise-moi bien, comme le vieux tout à l’heure, ou mieux encore. »

Comment résister à si pressante supplique ? Mon rein monte et descend alors qu’il me serre entre ses bras en ahanant, son râle devenant halètement puis, dans un petit cri de souris capturée, il jouit entre nos ventres, se refermant sur ma queue en lui qui pulse aussitôt en saccades.

Je le retiens dans une immobilité crispée et tremblante puis je défais prudemment nos liens et retombe à son côté, sur le dos, écartelé, rompu.

Mais déjà, il s’agite, me délivre du latex pour aspirer jusqu’à la dernière trace de foutre, se frottant à moi, me reniflant, me léchant partout, m’écrasant pour se rouler sur moi, revenant nettoyer les traces que sa propre jouissance m’a laissées, ronronnant comme un - robuste- chat qui vient se lover, moitié câlin, moitié entrave, pour me glisser :

- « Tu voulais savoir si j’étais pressé, c’est bien pour avoir le temps de remettre ça, non ? Alors laisse-moi m’occuper de toi ! »

Dans mon champ de vision, je n’ai qu’une masse de cheveux et de barbe en broussaille et, à peine, un éclat de prunelle malicieuse. Je ne suis pas heurté par son offre, j’aime aussi être embarqué pour me livrer aux fantaisies de mon partenaire, devenir à mon tour un objet de désir qu’il manipule à sa guise – contrairement à beaucoup de mecs qui pensent qu’ils doivent sans cesse être à l’origine de tout et que, seul, leur propre désir peut être moteur, désir dont leur fière érection est l’étendard … Or il est si bon de se livrer à toutes les attentions d’un amant, sans se préoccuper de bander … ou pas – Il sera toujours temps !

Mais sans renier pour autant mes inclinations.

Quel bonheur que de baiser avec ce mec qui s’en réjouit sans remord, dont la main baladeuse entreprend déjà de cajoler ma bite, ses lèvres d’effleurer les miennes, sa croupe d’onduler jusqu’à trouver ma pogne dans laquelle se couler. Il insiste :

- « Cette bonne queue, je vais la dévorer ! »

Mais même le cauchemar de l’ogresse aux dents acérées qui émascule celui qui pensait la pénétrer n’est plus rien qu’un simple fantasme, une variation érotique désormais apprivoisée par mon imaginaire en réponse à ces sensations vertigineuses que me procure l’engloutissement de ma bite par ces cavernes à la volupté merveilleuse.

Déjà il me chevauche et fait glisser ses fesses qui encadrent mon vit tendu qui coulisse entre elles, puis il repousse son bassin et la retrousse à la verticale, se cambrant pour l’escalader jusqu’à parvenir à la recouvrir, l’encapuchonner, habilement la diriger sur le pas de tir et la pointer sur son étoile ; il ne reste plus qu’à ajuster la visée.

Mais ma main l’arrête.

Je tends le bras vers mon sac, le ramène en secouant l’étui indispensable entre deux doigts. Il est un peu dépité de me voir interrompre sa si habile manœuvre mais sourit et bascule pour me sucer copieusement, me noyant de salive, me pourléchant aussi suavement qu’on peut le rêver.

Ma main a replongé dans le sac pour rapporter de quoi enduire mes doigts, l’index le perce en ambassadeur, le majeur expert le cloue tout net, respiration immédiatement bloquée.

Après trois secondes de silence, il gargouille, halète et retourne vers moi des yeux hallucinés … qui peu à peu retrouvent leur éclat polisson ... il sourit. Le sourire du chat qui voit une souris distraite …

En un tour de main suffocant d’efficacité, il m’a équipé et est remonté en selle, me coiffant le pointu sur lequel il s’engage d’un coup de rein résolu. Écartant ses fesses à deux mains, le nombril en avant et le menton relevé, je l’admire qui se laisse lentement glisser le long du mat jusqu’à la racine, roulant alors des hanches comme le goulu qui, la bouche pleine, se lèche les doigts pour s’assurer qu’il a bien tout mangé, jusqu’à la dernière miette, l’ultime trace de sucre.

Après m’avoir recouvert, englouti, délicieusement enveloppé, il se contracte pour habilement me cerner en lui et, soudain, son rictus se crispe, ses yeux me transpercent.

- « Maintenant baise-moi, queutard ! »

Mes doigts ont fendu l’air et saisi son téton. Des mâchoires ! Il a gémi, son sourire agressif s’est défait en un mol accent circonflexe dont s’est échappé un geignement et le feu de ses prunelles s’est mué en extase doloriste.

Dodelinant de la tête, sa cavalcade n’est qu’une caresse, de son cul sur ma bite plongée en lui, de sa main agitant la sienne et moi ? Je mate son plaisir, la commande fermement pincée entre mon pouce et mon index tandis que, de tout son ventre, il s’applique à me dévorer. Qu’il est beau, cet homme empalé qui se donne des vertiges sans vergogne, les yeux clos ; ses gémissements montent comme un chant céleste, il m’emporte, mon rein se cambre.

Il est soudain soulevé par un spasme, puis un autre et me baptise de son foutre. Je jubile mais ses paupières se fendent et il me glisse un regard noir et impérieux puis bascule à quatre pattes. Quand je l’enfile en levrette, il rugit comme une sirène d’urgence qui m’étourdit et enclenche mes réflexes ataviques de fornicateur invétéré.

La machine se lance ; il l’a voulu, il encaisse maintenant !

J’ouvre les yeux étendu sur le dos, je crois que j’ai eu un instant d’absence après avoir joui comme un forcené. Il est blotti contre moi, sur le côté et la tête soutenue par un bras en équerre, le regard bienveillant. Il plonge dans mon cou, me pique de bisous, remonte à mon oreille.

- « J’en étais sûr que tu es un bon coup. »

Et il rit et recommence ses agaceries presque tendrement. Mon bras l’enveloppe.

- « Je te retourne le compliment, quel entrain ! »

Son regard est venu chercher le mien, est-ce pour s’assurer de ma sincérité ? Je voudrais qu’il en soit convaincu : rien ne me plaît tant que cette rencontre de cul joyeuse, généreuse sans hystérie, ce moment fraternel ensuite où on prend le temps de se remercier … Il reprend.

- « Tu passes quelques jours de vacances dans le coin ? »

- « Non, je fais l’aller-retour dans la journée. »

- « Dommage ! »

Pourquoi au vététiste qui me posait la même question ai-je si sévèrement tapé sur les doigts qu’il en est parti méfiant alors qu’à ce grand costaud débonnaire, je propose d’échanger nos téléphones si d’aventure je reviens prochainement profiter du soleil ? Qu’est-ce qui nous rend certains partenaires sympathiques quand d’autres nous irritent de ne pas s’évanouir sitôt l’euphorie de la jouissance dissipée ? Est-ce que ça vient d’eux … ou de nous qui précipitons ainsi dans le néant le moment aussitôt que révolu ?

Comme nous quittons le bosquet qui nous a abrité, nous croisons un homme très bronzé et sec qui tient un paréo coloré froissé dans sa main à la lourde chevalière. Il me sourit, graveleux.

- « Alors, il est fini ce rodéo ? »

Quand il passe devant moi, il me glisse.

- « Elle est bonne, cette grande salope, hein ! »

Je remâche ma réponse mais la « salope » en question m’invite de la tête à poursuivre. Après quelques pas, je fulmine.

- « Je déteste cet usage du féminin, cette tentative de dévalorisation profondément misogyne. Moi, c’est avec des mecs que je baise. »

Il hausse une épaule, l’air indifférent à la querelle, ajoutant, magnanime.

- « Allez, au moins, lui, il sait bien se servir de sa queue. »

Je rétorque, amusé par le défi : « Mieux que moi ? »

Il s’arrête brusquement sur le sentier étroit et moi, je butte contre lui. D’une rapide rotation du poignet, sa main vient négligemment rafler tous mes attributs.

- « Tu me proposes encore un coup ? »

Je crois que je ne serai pas de retour de bonne heure.

Amical72

amical072@gmail.com

* Ecoutez "la promesse de vie." Georges Moustaki adapte, à la demande de son auteur Antônio Carlos Jobim, cofondateur de la bossa nova, la chanson "Águas de Março" avec pour titre "les eaux de mars"

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