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Premier épisodeÉpisode précédent

Agriculteur | S17 Reprendre pied

7 | À sa merci – Le récit de Jérôme.

Non loin des Chênaies, Lecourt m’a conduit dans un pré, jusqu’à une grange basse. Les portes au bois gris délavé sont ouvertes sur un mur de fourrage qui comble tout l’espace mais il trouve à se faufiler derrière l’une d’elles.

Je le suis.

Sitôt que je le rejoins, sa main crochète ma nuque et il m’attire à lui, cherchant à me galocher, d’abord maladroitement dans la pénombre. Un réflexe me fait m’assurer que gel et capotes sont bien dans ma poche puis je m’accorde à lui. Nos bouches se soudent et, dans un souffle conjoint, nos langues entament aussitôt leur ballet mais ma main s’est écrasée sur sa braguette pour cerner le membre dont je compte me régaler.

Voilà ! C’est chaud, c’est dur, ça m’est promis, je peux m’abandonner à lui.

Ses deux mains encadrent ma tête, ses doigts en étoile jouant à passer de ma barbe à mes cheveux ; elles l’inclinent, la basculent, la relèvent et nos lèvres avides se dévorent dans leurs couronnes de poils drus hérissés, nos langues charnues et toniques se nouent, se dénouent et coulissent selon l’inclinaison pour se renouer, se brasser dans un solide repas de mâche, de ceux destinés à rassasier les travailleurs de force.

Il recule en m’entraînant avec lui jusqu’à s’adosser à la paroi végétale et je viens, ondulant reptile, me frotter à lui qui est désormais acculé. Ses deux larges mains aux doigts en étoile glissent sur moi, me pétrissant avec gourmandise, comme pour un relevé topographique général.

Les miennes n’ont qu’un objectif, précis : sa bite !

Je prends appui de mon épaule sur la sienne et je décolle mon bassin ; ma bouche lui souffle à l’oreille :

-« Baise-moi ! »

Mais lui claque de la langue, désapprobateur. J’oubliais ! Lecourt n’est pas du genre loquace ! Il est de la vieille école, celle de mon père où les hommes devaient dissimuler leurs émotions.

Mes mains débouclent sa ceinture tandis que les siennes poursuivent posément leur inventaire au travers de mes vêtements. Deux boutons, une fermeture, j’écarte les mains et le pantalon s’effondre. Soulevant les pans de la chemise, je tâtonne sur le coton du vaste slip en coton, en cherchant l’entrée de la poche kangourou mais sa main bloque la mienne.

-« Tsss ! Auparavant, termine le travail ! »

Sa main s’est accrochée à mon trapèze et sous son simple poids, je m’accroupis, lentement, me raccrochant au passage à ses cuisses, solides, velues, entre lesquelles j’enfouis mon visage.

Tout en m’effondrant, je le respire, le lèche à petits coups rapides, le pique de bisous légers. Mes mains se battent avec un lacet récalcitrant, vainquent plus facilement une chaussette, dégage sa jambe de son pantalon, mes doigts courent, mes mains coulissent, enveloppent, soulèvent, portent à mes lèvres, j’applique ce pied nu sur mon visage comme on se prosterne, comme honoré du contact avec l’objet de vénération que j’embrasse avec componction, puis je le repose dans l’épaisse litière sèche.

C’est pour me ruer sur l’autre jambe, mais fort de ma première expérience, j’ambitionne, cette fois, d’obtenir plus que de petits rires de surprise, je n’ai que faire des frissons de fête foraine, je veux qu’il suffoque. Pour qu’ensuite, cette figure de commandeur se jette sur moi et me dévore.

Ma fréquentation des parquets de hand m’a appris quelques tours, comme délacer la double boucle des lacets, par exemple, ou les points stratégiques du mollet, ceux qui relâchent instantanément le muscle noué par la crampe, et cette zone sensible, à l’intérieur de la cuisse juste au-dessus du genou où un simple effleurement fait vibrer le nerf crural jusque dans les reins et hérisse le poil …

Il s’est brusquement penché et m’empoignant sous les aisselles, il me redresse et me galoche à nouveau, son empressement, en trahissant l’accélération de son pouls, sonne comme un premier bon point qui pimente et relance l’échange. Ses mains jouent de ma tête comme on dribble avec un ballon, il s’égare, me bécote un œil, sa langue se perd dans ma barbe, revient, ses lèvres happent le pavillon et le froissent, faisant résonner tous les carillons dans ma tête.

Mais je résiste à ce tintamarre pourtant assourdissant, mes mains, autonomes et mécaniques, s’infiltrent sous l’élastique de son vaste slip, en dégage le mat qui la retient et fait coulisser le carcan de coton sur ses cuisses puis elles dégrafent ma ceinture, font sauter les boutons de mon jean qui tombe à mes chevilles et, à deux mains, je fais glisser la ceinture de mon boxer, juste sous mes fesses, en suspenseur.

Juste là où vient se poser sa paluche qui s’immobilise. Surprise.

Lentement, elle s’agite, s’étoile, s’assure, pétrit, englobe, puis d’un seul mouvement, elle se referme en mâchoire sur ma fesse ; il me bascule sur son bras ainsi solidement ancré, sa seconde main me saisit la mandibule et, dans un ronflement de sanglier, ses lèvres écrasent les miennes, sa langue envahit ma bouche et emporte la mienne dans un méli-mélo de goujats.

Sur le point de perdre l’équilibre, je me suis heureusement raccroché à son cierge brandi avec la ferveur d’un enfant de cœur qui processionne, exalté par les volutes d’encens comme moi par nos effluves d’hommes en rut.

Je découvre qu’il a déboutonné sa chemise, probablement pendant que j’étais accroupi alors mes mains s’infiltrent sous l’antique débardeur qu’elle dissimulait ainsi que je le subodorais, s’emmêlant dans ses toisons que mes doigts hersent lentement en tous sens.

Il cède sous mes labours, rompt, se redresse. D’un haussement d’épaule, il fait glisser sa chemise le long de ses bras tendus vers l’arrière, ses doigts s’emparent du bas de son maillot qu’il arrache, bras croisés par dessus tête, m’envoyant au visage les moiteurs de ses aisselles.

Pour ma part, je fais prestement voler mes baskets de la pointe du pied ; perché sur une jambe puis l’autre, je retire mes chaussettes, piétine mon pantalon aux chevilles, dégage mon rostre qui retenait mon boxer quand sa main se referme sur moi comme une serre et me pétrifie.

Dans mon dos, Il m’enlace souplement de ses deux bras, m’écrasant dans sa fourrure et sa bite marque ma fesse gauche de son empreinte brûlante. Après ce moment survolté où je me suis précipité, ce brutal retour au calme forcé me trouble et je tarde à percevoir que ses doigts grignotent mon sweat, le rassemblent, le remontent autour de ma taille, effleurent ma peau ainsi dévoilée à petites touches.

Aussitôt mon souffle se fait plus court, une fébrilité m’agite à nouveau.

Il a resserré l’étreinte de ses bras, si fort que j’en ai le souffle coupé.

Il me murmure «doucement ! » en me rapprochant des gradins de fourrage. Ses mains relèvent mon vêtement sur mon torse, je lève les bras au ciel pour l’aider mais il le rabat sèchement en capuche qui emprisonne mon visage quand sa bouche sangsue aspire mon téton, me paralysant instantanément.

Puis l’autre. Idem.

A chacune de mes expirations sonores, sans attendre, il change de cible, ou de tactique.

Il pince mon mamelon à deux doigts et sa langue racle mon aisselle, puis y revient en papillon, y rampe, la lèche. Je soupire, me raidit, sursaute, aveuglé, pantin offert sans volonté à ses jeux.

Il m’entoure de ses bras, m’enveloppe de ses larges mains, me tourne, retourne, me place dos à lui, m’incline vers l’avant pour que mes mains prennent appui sur la paroi hérissée de chaumes barbelés, remonte l’arrière de mon vêtement jusqu’à mes omoplates sans toutefois m’en délivrer totalement. Sa queue s’est intercalée dans ma raie et y coulisse en rythme avec ses mains qui me frictionnent, me pétrissent les reins, les côtes, redescendent sur mes hanches, le haut des cuisses, jouant, entre mes toisons et ma peau glabre, une partition alternant caresses et massage qui me roule, m’étire, me cajole et m’électrise pour me soulever de mille frissons.

Sa main chaude posée à plat sur ma fesse, il s’est accroupi brusquement derrière moi. Son souffle sur mon cul ébouriffe mes poils et, en réflexe, je me cambre dans un geignement, une supplication. Je détache une de mes mains pour venir ouvrir ma raie, lui offrir mon cul mais il la bloque et la remonte pour la fixer sèchement, retournée sur mon sacrum. Son autre main s’introduit entre mes cuisses, mais sans les toucher, juste effleurer mes poils qu’il fait vibrer alors je fuis cette chatouille insupportable en écartant mes pieds, d’instinct.

Exactement comme il l’espérait !

Par en dessous, il peut alors caresser ma queue tendue, mouiller son doigt de la perle de liquide visqueux qu’il écrase sur mon méat, m’en lubrifier le gland, lentement, électriquement, tout en piquant mes fesses de bisous, les repeignant à petits coups de langue vifs, les brossant de sa barbiche.

J’en tremble comme une feuille.

Soudain, de ses deux mains vigoureuses et brusquement autoritaires, il saisit mes fesses, les écarte et il me bouffe le cul. Comme un sanglier. J’en suffoque de surprise, de cette longue attente enfin comblée, de mon désir devenu si vaste qu’il me submerge, de cette volupté qui m’éblouit ; je halète, me repousse vers l’arrière pour m’offrir, me …

Mais il s’est retiré, son doigt pèse quelques secondes sur mon anus, vibrionne puis me perce comme un trait fulgurant qui fait mouche, me cloue, me sidère.

Il s’est redressé, me gardant harponné, cassé en deux et, de sa main libre, il achève enfin de me dégager, sans égards, il m’épluche de mon vêtement qui m’étouffait et m’empêtrait.

Profitant de cette liberté de mouvement retrouvée, je m’empare de sa queue qui bale, toute proche, et l’engloutis goulûment.

Il a rugi en se redressant sur ses mollets, son doigt toujours fiché dans mes tréfonds me décochant un vertige en contre-offensive mais sa main qui se pose aussitôt sur ma tête expose ses attentes mieux qu’un discours et je m’emploie à lui dispenser cette gâterie avec tout mon zèle et ma reconnaissance tandis que les frémissements de son toucher me gardent dans une douce euphorie de tous mes sens.

-« Tu as les protections ? »

Comme pris en défaut, je me précipite et farfouille pour retrouver mon pantalon. Je lui tends le tube de gel pendant que je le capote efficacement. Encore une fois, il s’arroge l’entière maîtrise des évènements, je suis son objet mais je n’en ai cure puisqu’enfin, je touche au but.

Il va me la mettre.

Il me lubrifie grassement et me doigte puissamment à suivre, puis il me dispose et me pointe d’un sec coup de rein. Je découvre alors qu’il m’a privé de tout appui alentour et que je suis à la merci de ses deux mains qui me retiennent, m’attirent à lui, réduit à son seul bon vouloir mais déjà, sa queue force mon anus et s’introduit lentement, au rythme qu’il choisit.

OUI !

Amical72

amical072@gmail.com

« Je connais un pays on dirait un jardin / Je peux y vivre nu(e) sans avoir jamais froid / Quand j'y ferme les yeux je trouve sous mes doigts / Tous les chemins » Le pays de ton corps

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