Premier épisode
Chapitre 2
"Tu fais quoi demain soir?"
Je regarde mon portable. J'essaie de reconnaître le numéro, je ne l'ai pas enregistré parmi mes contacts. Je repasse en tête les dernières personnes qui ont reçu mon numéro récemment...et un mec me vient bien à l'esprit: Un daron de 50 ans que j'avais croisé à une partouze la semaine dernière.
Enfin, "croisé". Après avoir enculé des mecs, je me suis retrouvé à genoux comme une lope, hypnotisé par ses 20cm bien lourds, ses grosses boules pendantes, ses cuisses musclées. Et son regard autoritaire. Si mes partenaires savaient que moi, pur actif, avec tendances domi, défonceur de petits culs, avait été arrosé par son sperme...Ils se seraient bien marrés!
Maintenant que je suis à peu près certain que le message vient de mon daron, je ne sais toujours pas quoi répondre. Je suis libre demain soir, mais je suis autant excité que...gêné, à l'idée de me retrouver avec lui.
Primo, de base, je l’ai dit: je suis actif, plutôt flexible par le passé, mais sans l'ombre d'un doute actif. Secundo, il a facilement le double de mon âge. Et je baise plutôt des petits minets. Tertio...Je n'avais pas été pris depuis des années, et le daron m'avait bien fait comprendre après notre rencontre que mes fesses étaient son prochain objectif.
Mon portable vibre, un nouveau message. C'est une photo. De lui, allongé sur un lit, qui se fait pomper par un jeune mec. Je crois reconnaître un des minets que j’ai vu en soirée. Rien qu'à l'idée de me retrouver entre ses jambes, je commence à bander.
"Demain soir je m'occupe de ta bite".
J'ai chaud rien que d'écrire ces mots...Un peu pathétique, mais je sens ma queue enfler. La réponse ne tarde pas.
"Bonne réponse petite pute".
Et voilà, je bande encore plus. Il a le don de m'exciter rapidement. On échange des messages, il veut me voir en début de soirée dans sa maison en périphérie. J'ai pris soin de moi, avec une bonne douche, j'ai un peu entretenu mes poils. Un dernier coup d'œil à mon cul dans mon jean, qui me serre bien, et je suis en route.
J'arrive chez lui en avance, je sonne directement. Il ne met pas beaucoup de temps à m'ouvrir, et m'invite dans son hall d'entrée. J'en profite pour l'observer: Il est quand même grand, il doit faire un peu plus que mon 1m80. La cinquantaine, une carrure solide, un visage ferme, un regard perçant, des poils qui s'échappent du col de sa chemise...et un sourire pervers. Il est content de me voir.
"Allez, rentre. Tu vas prendre froid, fiston."
Je souris, le surnom me rassure. Je rentre et on se toise dans le hall d’entrée.
"Tu es vraiment beau mec. Content que tu sois venu."
"Pareil, j’ai hâte de mieux te ... connaître." Je me mords la lèvre, j’aurai pu être plus direct.
"Un verre? Pour que tu me connaisses plus…en profondeur." Un clin d’œil appuyé.
"Avec plaisir."
Il me guide à travers sa maison. Plutôt grande et impressionnante, il doit avoir réussi sa vie, il rentre dans le cliché du mec masculin homme d'affaires. On passe par un premier grand salon, pour arriver à un second plus intime. Il se cale dans un canapé, et me fait signe de m'asseoir dans un fauteuil en face de lui. Il prend une bouteille de vin qui traîne sur la table, et nous sert deux verres.
"Alors…on s’était bien amusé, la semaine dernière, chez xxx? Sacré partouze!"
"Haha tu peux le dire, c’était le pied! J’ai baisé des petits culs, on m’a bien sucé…"
"Et tu m’as pompé comme une petite salope!"
Je souris, un peu gêné. Je remarque que son entrejambe forme une grosse bosse. Il suit mon regard et me sourit.
"Haha…heu oui. C’est vrai, je t’ai bien sucé."
Il me fixe droit dans les yeux, toujours souriant.
"Sucé…comme une petite salope. Dis-le. Il faut l’assumer, ne sois pas gêné!"
Gloups. Il rentre dans le vif du sujet. Je ne suis pas habitué à sucer des mecs, alors l’avouer à voix haute…encore moins.
"Oui, non, tu as raison…je t’ai sucé…comme une petite salope."
"Bien voilà, ce n’était pas difficile à admettre. Et tu aimerais recommencer, n’est-ce pas? C’est pour ça que tu es là?" Son ton est paternaliste, mais son sourire de requin et ses yeux brillent montrent qu’il profite de ce moment. Un vrai pervers.
"Oui… c’est pour ça que je suis là. Pour te sucer…ta grosse queue. La mettre dans ma bouche. La faire grossir…"
Mes propres paroles m’excitent, je me détends (sauf mon boxer qui lui se tend!). Ses yeux tombent sur mon entrejambe, difficile de louper la tente qui se forme de mon côté.
"Dis donc, c'est que ce doit bien être dûr ton paquet, non?" Et joignant le geste à la parole, il se lève, s'approche et met directement la main à mon entrejambe.
"Ah ouais...c'est dur!" Il me masse le paquet gentiment avec ses doigts.
"Ah haha...C'est que tu m'excites bien. Et encore, je suis pas à fond, là!"
"Ah oui...C'est beau la jeunesse." Et il me malaxe avec fermeté le paquet.
Je suis un peu surpris de son geste, mais difficile de ne pas soupirer d'aise. Je ferme doucement les yeux pour profiter au maximum de son geste, 10 secondes, 20 secondes...J'entends une fermeture éclair s'ouvrir, et rouvre directement les yeux. Surprise! D'une main, il malaxe mon entrejambe, de l'autre...il sort sans complexe sa bite! Il ne bande pas à fond, mais je reconnais la taille impressionnante de son engin. Je bave d'envie.
"Tu vois, moi je suis moins jeune...Mais ma queue est quand même en bonne forme, tu ne trouves pas? Elle donne envie?"
"Si...Si."
Mon daddy me fait un sourire carnassier. Il arrête de jouer avec mon érection, se rapproche de moi et s'amuse à me bifler gentiment. En temps normal, un mec un peu domi/actif comme moi aurait protesté...mais rien de ça aujourd'hui! Je lève les yeux, en le fixant du regard. J'attends sa permission.
"Suce."
Il ne me faut qu'un mot, et c'est parti. Je maintiens le regard tout en essayant de m'appliquer, mais je suis très content de la retrouver en bouche. Elle doit faire déjà 16cm, ma taille, et j'arrive à prendre la totalité de son engin. Je le suce sans utiliser mes mains, qui elles caressent les jambes musclées de mon daddy.
"Mmmh...Quelle bouche à pipes. Tu fais bien ton boulot de fiston."
Je relâche sa queue, cela fait un "blob" sonore, je sors un petit "Merci!", avant de remettre sa queue dans ma bouche. Il rigole.
"Haha, c'est bien chéri...Mais la prochaine fois, tu peux juste acquiescer...Tu es ma salope, tu me remercies en suivant mes ordres."
Sous son regard, j'acquiesce juste. Pas envie d'énerver le daron. Mais en même temps, au vue de ses grognements, il a l'air d'être plus détendu qu'autre chose: la tête renversée en arrière, sa main sur mes cheveux pour accompagner mes mouvements de succion, les jambes qui fléchissent progressivement ne mentent pas.
Moi honnêtement, je prends mon pied. Sentir son morceau de chair dans ma gueule, masser les muscles de ses cuisses, lécher ses couilles poilues… Je suis peut-être actif, mais je sais que je suce plutôt bien. Je me sens à l'aise avec sa barre dans ma bouche, je sais que je fais un bon boulot.
Après plusieurs minutes de traitement, sans crier gare, je sens le daron se raidir. Son jus envahit ma bouche. Plusieurs jets crémeux remplissent ma bouche. J’en compte six. Je ne sais pas quoi faire, et je tente de recrache son sperme, mais il me bloque la tête de ses mains.
"Avale. Avale, je te dis!"
Honteux d’être là décharge d’un autre homme, je déglutis et accepte d’être sa décharge. Il continue de me bloquer un moment, en m’insultant de tous les noms. Sale pute, petite suceuse, bouffeuse de sperme, et j’en passe…
J’ai toujours le nez plaqué contre son pubis, et je sens son étreinte se desserrer. Sa queue commence à perdre de la rigueur, mais occupe toute ma gueule. Il se retire enfin lentement, et s’allonge sur le canapé, entièrement à poil. Je le regarde, moi, toujours habillé avec mon entrejambe bossue. Il rigole.
"Bonne suceuse! Tu fais bien ton boulot. Bonne petite lope. Tu as kiffé?"
"…Oui, oui, enfin le sperme m’a surpris, j’étais pas -"
"En fait, je m’en fous de ce que tu racontes! Tu bandes encore haha! Regarde!"
Il pointé du doigt mon érection, et je me rends seulement compte à quel point j’ai mal tellement mes 16cm sont à bloc et coincés contre mon pantalon.
"Mets toi à l’aise. Je récupère un peu, et ensuite je te traite comme une pute."
C’est dingue, son langage m’excite comme pas possible. Je me déshabille, il me regarde en jouant avec sa teub qui reste encore de taille impressionnante! La mienne rebondit quand je fais sauter mon caleçon tellement je bande.
"La fougue de la jeunesse! Haha. Approche, montre ta bite à ton daddy."
Je m’exécute, je me mets au niveau de son visage. J’espère secrètement qu’il va me faire juter, je bande tellement.
Je vois une lueur dans ses yeux, sa langue passe sur ses lèvres. Il se redresse un peu, et effleure de sa main ma tige et mes boules. Je soupire de plaisir.
Sa tête s’approche de ma queue, je salive déjà à l’idée d’une fellation et souris comme un idiot. J’ose un ordre, les réflexes d’actif prennent le dessus.
"…Suce-moi."
Sa main s’arrête sur mes boules, il relève les yeux et me regarde.
"Ah oui? Tu veux que je te suce? Eh bien….Ferme les yeux."
J’obtempère. Peut-être que mon daron est un timide et ne veut pas que je le voie s’activer sur ma queue. Quelques secondes s’écoulent. Je sens juste ses doigts faire le tour de mes boules. Aucune langue ne vient s’enrouler autour de ma queue. Je l’entends se lever du canapé. Et d’un coup, une douleur me plie en deux. Le salaud me serre les couilles!
"Aïe aïe ahhhh! Arrête!!"
Il me fixe froidement et ne relâche pas son étreinte. Je recule d’un pas mais il serre mes couilles d’une poigne de fer. Je panique.
"Désolé, désolé!! Arrête, ça fait mal!"
Il relâche légèrement son étreinte. D’un ton froid, il me demande:
"Bâtard. Sais-tu seulement pourquoi tu t’excuses?"
"Oui…Fin, je crois. Je t’ai demandé de me pomper."
"Sale pute! Tu m’as ordonné de te sucer. Je suis ton daron, ton maître. Tu vas prendre cher."
Gloups. J'ai la gorge qui devient sèche. Je hoche la tête.
"Pardonnez-moi maître. Je ne recommencerai plus."
Mes paroles ressemblaient plus à des gémissements qu’autre chose. Et dire que la semaine dernière, je me considérais comme 100% actif. Mais il a dû accepter mes excuses, il ne serre plus mes couilles. Je les inspecte rapidement mais heureusement, il n’y aura pas de séquelles a priori.
"C’est mieux comme ça. Mais il faut corriger ton comportement. Effacer tes réflexes d’actif. Te rendre soumis. M'offrir tes trous de lope, c’est ton but."
J’avale ma salive. Je suis partagé entre la peur, l’angoisse, et…l’excitation. Je ne bande plus, mais je sens une chaleur dans mon bas-ventre. Je regarde sa queue, par curiosité (et par envie), il bande à fond. Est-ce que cet épisode l’a excité?
"Je vous obéis, daddy."
"Mieux, bâtard. Suis-moi."
On traverse plusieurs pièces, montons un étage, et on se retrouve dans une grande salle de bain entièrement blanche. Elle doit faire 30m2, plus grande que certains de mes studios d’étudiant! Un espace ouvert est dédié à la douche. Il avance vers ce dernier, se retourne vers moi, sa bite encore toute droite.
“Tu sais ce qu’il va se passer, petite pute”?
“N….Non.”
“Petite salope, t’es débile ou quoi? Il faut purger tes réflexes d’actif. Tu dois apprendre à me servir. Va dans la douche.”
J’obtempère. Je le regarde, il me suit dans l’espace de douche, se met derrière moi, à côté d’un banc en bois. Il a les bras croisés sur son torse velu. Un vrai mâle.
“Lave-moi.”
Je le regarde, incrédule. Je ne vais quand même pas laver un daron de 50 ans? Je suis venu pour baiser, éventuellement tenter une aventure avec la soumission…Mais je ne suis pas son aide de maison!
Et vlam! Je prends une baffe. Je suis choqué, c’est la première fois qu’il me frappe. Si on ne compte pas la torture des boules. Je porte ma main sur ma joue cuisante. Quel maso!
“Tu mets trop de temps à obéir. Je ne vais pas répéter mon ordre, sinon, c’est dehors, sans tes vêtements.”
Gloups. Mieux ne vaut pas tester ses limites. J’attrape le pommeau de douche, puis m’apprête à régler la température.
“Avec ta langue. Et commence par mes pieds.”
Je ne crois pas ce que je viens d’entendre. J’ai déjà été bien directif avec des mecs que je baisais, mais pervers à ce point…jamais! Moi, laver les pieds d’un cinquantenaire? Ça va pas la tête!
Je l’entends grogner, il lève le bras comme s’il allait encore me gifler. D’instinct, je gémis et me protège.
“Non! Pitié! Plus de baffe!”
Il baisse le bras, se rapproche de moi. Je couine de peur. Il tend le bras…mais au final, pour prendre mon visage et le caresser. Pfiou. Il me regarde avec affection.
“Chéri, cela ne me fait pas plaisir de te punir. Encore moins d'abîmer ta bouche, elle doit servir de trousseau à ma queue. Mais tu dois m'obéir. Sinon…Tu comprends?”
“...Oui, je comprends, désolé.”
“Allez, ce n’est pas grave. Mais pour te faire pardonner, tu dois me lécher. C’est comme cela que tu apprendras ta place de salope, tu vois?”
“Oui, daddy”.
Il retire sa main de mon visage pour la poser sur ma nuque et m’accompagne alors que je m’assieds sur le carrelage. Je vois sa queue, encore bandée comme un arc. Un vrai sadique! Je sens la mienne se réveiller. Je suis face à ses cuisses musclées, ses grosses couilles pendantes, et…ses pieds.
Comme le reste de son corps, ils sont bien musclés et poilus. Étrangement, et je ne sais pas comment l’expliquer, ils sont esthétiquement beaux. Je n’avais jamais fait vraiment attention aux pieds des mecs, si ce n’est pour parfois me les faire lècher par des minets soumis ou les poser sur le visage des lopes que j’encule.
Je commence à comprendre le fantasme de certains, le rapport de domination renforcé quand on est aux pieds de son partenaire.
Je regarde mon daddy, qui me fixe et me sourit. Il s’assied sur le banc de la douche, me tend un de ses pieds. J’approche mon visage, et commence à le lécher, d’abord lentement, puis, enivré par son odeur virile, plus passionnément. Il sent bon, ni trop fort, ni trop mauvais.
Au bout de quelques minutes de traitement, il tend son autre pied. Pas pour que je lèche comme je le pensais, mais il le pose directement sur mon entrejambe et appuie avec un peu de force. Cela fait un peu mal, je couine, il rigole.
“Ah c’est sûr que si on ne bandait pas, on n’aurait pas mal, hein!”
Il éclate de rire. Confus, je regarde son pied posé sur ma queue. Ma queue, complètement dure, qui bande à fond. Je relève les yeux, gêné. Lécher le corps d’un daron sadique qui me baffe dans sa douche…Et cela m’excite? Je le regarde droit dans les yeux, encore son mollet que je léchais à quelques centimètres de mon visage.
“Allez, petite pute. Continue de me lécher le corps. Ta langue doit encore passer sur mes couilles, ma raie, mes aisselles et si tu es un bon chiot, tu auras encore droit à mon jus.”
Il appuie ces propos d’un clin d'œil. Inutile de le dire, je me suis remis à lécher sa jambe de plus belle.
J’espère que l’histoire continue de bien vous exciter! Vos retours me font bander, si certains veulent échanger, écrivez-moi.
Sam
Seffsam987@gmail.com
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