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7 Mai

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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Premier épisode | Épisode précédent

Abusé par un daron pervers

Chapitre 3

"Lève-toi."

Je lâche la jambe de mon partenaire que je massais, et me relève enfin après avoir passé un bon moment par terre. Mon partenaire fait de même et me prend la main, m'entraînant en dehors de la pièce.

Pour vous rafraîchir la mémoire: moi c'est Sam, j'ai la petite vingtaine, un corps plutôt bien foutu, un cul musclé et une queue bien droite de 16cm. Jusqu'à présent, je me considérais ouvertement comme un mec actif, avec quelques tendances domi. J'aime donner des baffes, des fessées, soumettre mes partenaires à mes pieds, leur donner des ordres, vous voyez le style. Mais tout cela a changé, après avoir rencontré un daron autoritaire de 50 ans dans une partouze. Il m'a invité chez lui, et j'ai passé la dernière heure à le sucer, avaler son sperme, me faire bifler, tripoter, baffer, et enfin, masser son corps dans sa douche. Aussi bien avec mes mains, qu'avec ma langue. Et complètement à poil. Bref, j'ai bien changé en une après-midi!

Et c'est toujours cul nul que mon daron m'amène dans une chambre. Un lit king size trône au milieu de la pièce et un grand miroir couvre la quasi-totalité d'un mur. Ce qui attire naturellement mon regard.

"Eh bien chéri, cela t'intéresse le miroir? C'est vrai que c'est pratique."

Mon daron me serre la main et se rapproche de moi. Il me regarde dans les yeux, et caresse mon torse lentement. Après m'avoir traité comme une vulgaire petite lope - ce qui m'avait bien excité, je ne vais pas mentir, il a l'air de s'attendrir - À vrai dire, ma première expérience en tant que soumis était éprouvante, aussi bien physiquement que mentalement, et sentir ses mains chaudes sur mon corps me fait du bien.

J'ai déjà eu le temps de découvrir son corps, mais mes mains suivent le mouvement et caressent son torse. Poilu et fort. Un vrai mec viril, avec qui on se sent en confiance et protégé quand on est dans ses bras. Il se colle à moi, je sens sa queue bandée contre mon ventre. On danse un peu, on se balance gentiment de gauche à droite, son engin suit le mouvement et me chatouille un peu. Je rigole gentiment.

"J'espère que tu ne te moques pas de mes pas de danse, petit con!"

"Jamais! C'est ta queue qui chatouille mon ventre."

"Ah oui? Eh bien, tourne-toi. Je veux danser en face du miroir, voir à quel point ma bite te fait sourire."

J'obéis. Mes fesses font maintenant face à sa queue, et moi je fais face au miroir. Sa main gauche glisse toujours sur le bas de mon ventre, mais sa main droite rejoint mes fesses et les écarte. Je sens un doigt flirter avec mon trou, et je me tends un peu.

"Héhé, tout doux. C'est un accès seulement pour les privilégiés."

"C'est vrai ça? Mais dis-moi, mon sperme doit être en ce moment dans ton ventre, non? Ça ne fait pas de moi un privilégié?"

Gloups. C'est vrai que pas plus tôt qu'il y a trente minutes, je l'avais pompé jusqu'au jus. Je jette un coup d'œil au miroir: Il me fixe, et moi, je suis rouge comme un tomate. Je lâche un petit cri alors que je sens son doigt qui continue de s'agiter autour de mon trou et teste mes résistances.

"Att-Attends! Je ne suis pas prêt."

Je me retourne et lui fais face. Je vois sa queue qui perle d'excitation, et son sourire carnassier.

"Oh si, si, tu es prêt."

Rapidement, mon daddy me pousse sans trop d'effort sur le lit et je tombe sur le ventre. Je suis choqué, je ne suis pas une brindille non plus! Mais c'est vrai que mes biceps sont un peu minces par rapport aux miens. Je tente de me relever mais je le sens déjà s'écraser de tout son poids sur mon corps. Je ne m'y attendais pas et j'ai le souffle coupé.

Ses jambes bloquent sur les miennes, son torse pèse de tout son poids sur mon dos, ses bras bloquent les miens, et évidemment, sa barre de fer est plaquée à la verticale contre mes fesses. Je peux juste me redresser un peu, mais il me lèche l'oreille et me susurre:

"Plus tu résistes, plus ça va faire mal. Pense à toutes les fois où tu fourrais des minets. C'est plus agréable quand le passif se laisse aller, n'est-ce pas?"

Je gémis. Je pense à son corps massif collé contre le mien, à ses 20cm contre mon petit cul, et honnêtement, à ma queue qui est coincée entre mon ventre et le matelas du lit. Je bande dur.

"Suce mes doigts, petite salope."

Il lâche mon bras droit et porte trois doigts à ma bouche. Sans trop réfléchir, je m'empresse de les gober. Ma langue les entoure et les lèche. J'essaie de comparer leur taille avec celle de sa bite, que j'ai quand même pompée pendant un sacré moment, je me dis que cela devrait tout juste suffire pour m'ouvrir. N'empêche, je fais mon boulot et je lèche du mieux que je peux pour le satisfaire.

"Allez, c'est ça. Lèche-les. Suce-les. Passe bien ta langue entre les doigts. C'est le seul lubrifiant à notre disposition de toute manière."

Gloups. Pas de gel? Pas de vaseline? Je ne me rappelle même pas avoir fourré un partenaire sans lubrifiant. Mon daron retire rapidement ses doigts de ma bouche. Je respire un grand bol d'air, il a quand même des sacrées mains! Et ce que je craignais arrive: il se relève légèrement, sa main se dirige vers mes fesses et ses doigts s'agitent autour de mon trou.

"Attends, attends!! Je suis pas prêt! Il faut du gel"

"Mais si. Il est temps que l'étalon monte sa jument. Ou plutôt, qu'il monte le jeune poulain."

"Faut trouver du lubrifi-AHHH!"

Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase, un doigt s'est glissé dans mon trou et je pousse un cri. Le doigt n'est pas allé si loin, quelques centimètres, mais assez pour couper mon souffle. Je ferme les yeux et serre les poings. C'est un mélange de douleur et d'une... drôle de sensation. Je ne suis pas vierge, j'avais quand même commencé ma vie sexuelle en étant versatile! Mais je ressens la chaleur de son doigt fouiller mon cul. Et ce n'est pas si déplaisant.

"Chéri, chéri. Tu vois, tu n'as pas mal?"

Je continue de fermer les yeux et de serrer les dents, mais je lance sur un ton ironique: "Tu parles!"

Et vlam. Je reçois une baffe sur le crâne.

"Hey, ne me parle pas sur ce ton, petit con!"

À contrecœur, je lâche un faible "pardon".

"Hein? Pardon qui?"

"Pardon Monsi-AHH!"

Un deuxième doigt s'engouffre en moi, encore plus loin que le premier. Sûrement son majeur. La douleur et le plaisir, intenses, m'ont encore coupé le souffle. Je tente de me débattre mais sa main bloque toujours mon bras gauche. De ma main droite, je frappe le matelas, frustré. Mon daron rigole, et me souffle à l'oreille:

"Je t'ai dit: plus tu te débats, plus tu auras mal. Toi seul, petit pourceau, peut empêcher que tu aies mal."

Et il commence à faire coulisser ses deux doigts dans mon trou. Au début, je grince et grogne comme un animal, mais progressivement, la douleur laisse place au plaisir. Ses mouvements sont plus fluides, d'un coup plus lents, d'un autre plus rapides. J'arrête de protester, et me surprends à écarter un peu plus les jambes. Ma bite, qui avait commencé à se recroqueviller avec la douleur, se réveille et je la sens se plaquer encore une fois entre mon ventre et le matelas.

Ma respiration commence à être fébrile, je retiens mes gémissements avec peine. Mais en écartant mes jambes, mon daron a sans aucun doute du prendre le geste comme une invitation. Et c’est ce qu’il fait quand je le sens insérer un troisième doigt.

Je serré les dents, mais je réalise que je ne ressens quasiment plus de douleur. Au contraire, c’est comme si mon cul attendait avec impatience ce troisième doigt pour compléter la séance de doigtage.

Mon daron commence alors à se relever, me libérant ainsi. Il se positionne à genoux sur le lit à ma gauche, sa main droite occupée à fourrer mon cul. De cette position, il peut bien voir mon visage, et mon sourire béat. Je ne le cache plus, mais je me retiens encore de gémir. Je le regarde, les yeux à demi fermés à cause de la vague de plaisir qui envahit mon cul. Il sourit à grandes dents. Il prend ma main gauche et la porte à sa queue, toujours fièrement érigée. J’ai encore du mal à faire le tour de son morceau mais je le branle du mieux que je peux - et vu ses gémissements, il a l’air d’aimer. On continue comme ça pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’il m’ordonne:

"Changement de position, fiston. À genoux comme moi. Plie tes jambes, assieds toi sur le bord du lit. Cambre ton cul."

J’obéis. Ma croupe est vraiment au bord du lit, mise en avant comme un vulgaire morceau de viande dans un rayon de supermarché. Mon daron se met debout et se positionne contre mon dos. Je n'ose pas me retourner, de peur de voir sa grosse queue érigée. Il fait frapper sa queue sur mes fesses, comme si elles étaient des tambours! Et quand sa lourde bite s'écrase, ça fait du bruit. J'aurai des marques pendant un moment!

Et c'est pendant que je pense à mes éventuelles marques sur les fesses que je ne me rends pas compte de sa matraque qui s'insère dans mon trou. J'ai le souffle coupé, alors que je sens son gland titiller mon intérieur.

"Alors, tu vois que la bite du daron fait pas mal, petite pute!"

"Uhh...Doucement, doucement!"

Je veux le surprendre, lui montrer que j'encaisse sa bite comme un champion. Il continue d'insérer centimètre par centimètre son engin, mais je me retiens de gémir tant bien que mal. Soudain, il s'arrête. Je me retourne pour l'interroger du regard. Il me sourit, caresse ma joue.

"Elle te fait du bien ma queue?"

"...Oui." Je prends une grande inspiration. "Je l'aime bien."

"Alors continue de me regarder pendant que je t'encule. Tu détournes le regard, je te baffe."

Et d'un coup, mon daron s'enfonce entièrement en moi. Mon souffle est coupé en deux, je gémis, je sens les larmes monter aux yeux. Je continue de fixer mon daron. Lui, son sourire s'élargit. C'est un sacré pervers pour prendre son pied en me voyant galérer. Je sens ses couilles contre mon cul, il est enfoncé jusqu'à la garde, le salaud.

"Tu pleurniches, tu pleurniches. Mais je sais que tu kiffes. Petite salope!"

Mon daddy remue sa queue en moi avec ses hanches, et je ne peux pas m'empêcher de pousser un petit cri. Il me donne de légers coups de hanche, faisant sortir sa queue d'à peine quelques centimètres pour les réinsérer aussi rapidement. Mais mon cri est plus un cri de plaisir que de douleur.

"Tu vois? Tu aimes. Tu plisses les yeux comme un soumis...Prends ça!"

Sa queue s'était lentement retirée sans que je ne m'en rende trop compte, et il l'a ré-enfonce jusqu'à ce que ses couilles claquent contre mon cul d'un grand coup sec. Mais je ne hurle pas...je gémis. Je passe ma main sur ma queue pour commencer à me branler, l'autre main sur le torse de mon daron. Je touche son poitrail, poilu et fort, j'adore. Il recommence ses profonds va-et-vient, et je continue de gémir à chaque coup de hanche. Au départ, j'avais un peu honte d'autant prendre mon pied, mais je me décoince progressivement. Mes fesses accompagnent ses mouvements, s'il ressort sa queue, mon cul est attiré comme un aimant à sa grosse bite et cherche à la prendre de nouveau. Le traitement bestial dure plusieurs minutes, mais j'ai envie de mieux le voir me fourrer le cul.

"On change de position? Oh oui (je reçois un nouveau coup de bite!)...Je me mets - ohhhh - sur le mhhh... dos?"

Sa réponse se fait attendre, mais ses coups de butoir continuent. Je tourne la tête, il me sourit.

"Quoi? Tu me parlais? Pas entendu."

Le petit con. Il me fait répéter.

"On - oh! - change - mhh - de positi - Oh!"

À chaque syllabe que je prononce, il s'assure de me pilonner comme il se doit. Exprès pour me déstabiliser. Il continue de sourire comme un pervers, et hoche la tête. Il se retire d'un coup, je sens tout de suite le vide qu'il a créé, et mon cul qui en redemande. Je me repositionne directement sur le dos, toujours le cul au bord du lit, en écartant mes jambes au maximum en m'aidant de mes mains. Mon daddy éclate de rire, je rougis.

"Mais c'est que je devrai immortaliser le moment ahaha! Tu sais quoi, laisse-moi deux secondes, je vais chercher mon téléphone..." Il fait mine de se tourner vers la porte de la chambre.

"Hein? Non non, pas de photos!" Je stresse d'un coup. Il joue à quoi?

"Haha, je plaisante. Je t'ai bien eu." Quelle blague de daron pourrie! Mais de sa main droite, il continue de branler son engin. Je bave en lorgnant dessus.

"Pff, quelle blague nulle. Allez, viens te caler au fond de moi, tu t'y sens si bien!"

Il me fait un clin d'œil, et ni une, ni deux, il repositionne sa bite face à l'entrée de mon cul et s'enfonce d'un coup. Je gémis comme une vraie femelle maintenant, et nos deux corps sont en symbiose. Un coup de queue, ses couilles claquent contre mes fesses, et je crie de plaisir. Un coup, ses couilles claquent, je crie encore. Je tressaute à chaque coup. Ma queue bande à fond, mais je m'en fiche: Ma source de jouissance pour l'instant, c'est mon trou qui se fait défoncer par mon daddy pervers. Et il y met toutes ses forces, il est costaud après tout. Ses bras musclés entourent mes épaules. J'entoure sa taille de mes jambes, comme pour l'emprisonner et le forcer à me pilonner. Je me sens si bien.

Mon daron se relève, et je sens le rythme s'intensifier. Ma queue tressaute encore plus à chaque coup de butoir. Il me fixe, tout rouge, concentré me labourer, et je comprends que c'est pour bientôt. D'un coup, il se retire, m'arrachant un petit gémissement. Il continue de se branler et pointe le sol.

"À genoux."

Dans une autre vie, en parfait actif domi, j'aurai refusé...Mais pas dans cette vie-là. Un peu sonné par le pilonnage en règle que j'ai subi, je me laisse tomber du lit et me positionne à genoux contre le lit, en face de sa queue et de ses couilles. J'observe comme hypnotisé sa main et ses testicules qui s'agitent au gré des mouvements de son bras. Je me rends compte à ce moment que ses couilles, eh beh, ce sont des couilles de taureau! Elles sont énormes et bien pendues. Plus curieux que jamais, je les attrape et commence à les sucer. Elles ont une vraie odeur de mâles, avec un peu de transpiration.

Il lui a fallu 10 secondes de ce traitement pour qu'il écarte avec sa main ma tête. Je me repositionne face à sa queue, et le fixe en sortant ma langue. Je vois à ses yeux que cela l'excite encore plus!

"Tu veux mon jus? Tu le veux, petite pute?"

"Oh oui."

"Sur ta gueule?"

"Sur ma gueule. Sur ma langue. Sur mon -"

"Ah avale, salope!"

Je n'ai pas le temps de réagir qu'un premier jet épais et chaud s'écrase sur ma bouche. Je suis surpris, mais je tends ma langue juste à temps pour récupérer d'autres jets, un deuxième et un troisième. Le quatrième faillit m'aveugler. Mon daron me couvre abondamment le visage de son foutre visqueux. Je relève le regard, avec un grand sourire. Il se tient toujours la queue, et de la main gauche, se gratte le torse, nonchalant, comme si de rien n'était!

Il baisse les yeux comme s'il me voyait pour la première fois et rigole:

"Allez, petit chiot! Passe sous la douche. Lave-toi, tu es dans un état!"

Je me relève tant bien que mal. J'ai le cul cassé - littéralement - en deux, et je clopine jusqu'à la douche. Au final, on se sera vu plusieurs fois avec ce daron, à chaque fois pour des parties de jambes en l'air endiablées.

J’espère que l’histoire vous a bien chauffé! Vos retours me font bander, si certains veulent échanger, écrivez-moi.

Sam

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