Chambre d'hôtel

Lorsque j'avais trente ans, j'allais souvent à Paris et logeais dans un hôtel pour touristes. Dans cet hôtel bien tenu, j'avais remarqué un jeune employé souriant qui, parfois, venait frapper à la porte de ma chambre et me demandait si je n'avais besoin de rien. Ce garçon de plus ou moins dix-neuf ans était très beau avec ses cheveux blonds, ses yeux en amandes et son visage bronzé, c'est de lui que j'avais besoin, car il me faisait bander ! Si bien que le soir, je me branlais dans mon lit en pensant à lui, je voulais le caresser, l'embrasser, le faire jouir et mon sperme giclait en l'imaginant.

Au fil des jours, lorsque je le rencontrais dans un couloir, je répondais à son sourire, je le désirais terriblement ! Mais comment lui faire comprendre mon désir ? Je rentrais dans ma chambre pour éclabousser de mon sperme les draps du lit en pensant à son sourire.
C'est lui qui, dans la journée, défaisait les lits et remplaçait les draps par des draps propres. Il ne pouvait manquer de voir mes draps enduits de sperme, mais il ignorait que c'était grâce à lui ! Jusqu'à un soir....

Je suis couché dans mon lit dans la pénombre qu'une enseigne lumineuse rouge éclaire par la fenêtre, je rêvasse en pensant à ce beau garçon et j'ouvre ma braguette pour commencer à me branler comme chaque soir.
Le jeune homme qui, je l'appris plus tard, s'appelait Jean Michel, avait pris l'habitude d'entrer sans frapper dans les chambres dont il connaissait les occupants.

Le beau Jean Michel entre donc soudain dans ma chambre et... me surprend en train de branler ma bite dressée en pensant à lui, comme toujours ! J'essaie de dissimuler dans mon jean cette bite accusatrice, peine perdue, elle est trop raide ! Jean Michel fait semblant de rien et comme d'habitude me souhaite le bonsoir. Je le remercie, il va s'en aller sans rien dire, mais je veux profiter de l'occasion, j'entame la conversation :
- Tu as fini ta journée ? Reste un peu, que veux-tu boire ?
Timide, il ouvre le mini bar et en sort deux bouteilles d'alcool, par décence je ferme a braguette (mon érection s'est un peu calmée !) et je lui fais signe de s'assoir au bord de mon lit.

Dans les éclats de lumière rouge de la rue, je contemple son beau visage ; ses cheveux blonds, ses lèvres sensuelles, ses yeux en amandes, et je recommence à bander ! Excité je lui demande :
- Depuis quelques jours que je suis là, tu n'as rien remarqué ?
Il fait signe que non. J'insiste :
- Tu as changé mes draps tous les jours... Tu n'as toujours rien remarqué ?
Son visage s'éclaire :
- Ah Oui ! Tes draps sont empesés.
Et Plus bas, il murmure :
- Tu te branles souvent !

Je lui réponds :
- Oui, tous les soirs, et toi ?
- Quoi moi ?
- Tu te branles aussi ?
- Tous les jours comme toi, comme tous les garçons !

La conversation prend un tour qui me convient ! Je le prends pas les épaules en disant :
- Et tu penses à quoi quand tu te branles ? Qu'est ce qui t'excite ?
Il me répond :
- Je te le dirai si tu me dis d'abord ce qui t'excite !
Là, je suis gêné, pris à mon propre piège ! Il insiste :
- Alors, qu'est ce qui t'excite ? Tout à l'heure, quand je suis entré, j'ai bien vu que tu te branlais !
Merde ! Je rougis, ce qui ne se voit pas dans la lumière rouge !
- Alors, tu pensais à quoi ? A une fille, A un garçon ? A la façon dont tu me regardes depuis que tu es arrivé, je parie que c'est à un garçon !
Il a deviné, je ne peux que lui répondre :
- Ben oui, ça te gêne ?
- Pas du tout ! A quel garçon ?
Je croise son regard rieur, il ajoute
- A moi, peut être !

Il a tout compris, je recommence à bander dur dans mon jean, Il sourit :
- J'ai rien contre ! (un temps)... Toi, je vois que tu bandes à nouveau ! D'ailleurs, approche, moi aussi, j'en ai une raide ! Tu veux voir ?
Et, prenant ma main, il la pose sur son pantalon tendu par une barre impressionnante !
Excité à mort, je l'empoigne par les épaules et le couche sur le lit en embrasant ses lèvres délicieuses, Je saisis sa barre dure à travers son pantalon, je sens qu'elle frémit et durcit à ce contact, mon baiser se fait plus profond, d'une main il ouvre ma braguette, qu'est ce qu'il est beau ! Je bande comme un cerf !

Il murmure :
- Tu sais, mon lit est plein de mon jus aussi ! Prends ma bite, j'ai envie, branle-moi, fais-moi juter, pas de problème, c'est moi qui enlève tes draps !
Je descends son pantalon et saisis sa bite raide, elle est longue, chaude et dure, de son côté il saisit mon épieu, ses doigts vont et viennent délicieusement, ah ! Me faire branler par ce beau garçon ! Je bande comme jamais dans sa main qui serre ma bite et va-et-vient de plus en plus vite !
- Arrête ! dis-je, tu vas me faire jouir !

Il arrête, j'en profite pour lui demander : - Et tu fais ça avec tous tes clients ?
- Non, mais il y quinze jours, un jeune type d'à peu près mon âge, un petit brun, au regard vicieux était venu avec ses parents, celui-là je m'en souviendrai ! Il m'avait repéré, il me suivait dans les couloirs, un jour il m'a suivi dans ma chambre et sans rien dire, il s'est jeté sur moi en ouvrant ma braguette !
- Et alors ? dis-je.
Je me suis dégagé en le traitant de vicieux, mais il a rigolé en ouvrant largement ma braguette ! Comme il insistait, j'ai commencé à bander, il m'a dit :
- tu me plais.
En détachant ma ceinture, je me suis laissé faire, finalement j'en avais envie et ce garçon vicieux m'excitait. Il a sorti ma bite raide et a commencé à me branler.

En écoutant le récit, j'imagine la scène et mon épieu durcit dans la main de Jean Michel qui continue : il a sorti sa bite bien raide aussi et nous avons fini à poil sur mon lit !
Il bandait dur, moi aussi, il me branlait, il m'a sucé, c'était super ! Mais quand ma bite est devenue bien raide et dure, sans prévenir, il s'est assis dessus en disant :
- Ouais, encule-moi !
Ma bite dure l'a pénétré, c'était chaud, très agréable il allait et venait, sa bite raide qu'il branlait sous mon nez, j'étais fou de plaisir, mais je l'ai encore traité de sale vicieux !

Il m'a dit :
- Vicieux toi-même ! T'aimes ça !
J'étais sur le point de jouir dans sa chaleur, il branlait sa bite à toute vitesse devant mes lèvres et soudain il a crié :
- H !...PRENDS ÇA SALAUD !
Et son jus a giclé plusieurs fois sur ma bouche, AVALE ! J'ai avalé en jouissant en lui, c'était super !

Le lendemain, il partait avec ses parents et je ne l'ai plus revu, mais quand j'y repense, c'était la première fois que je me suis fait enculer et je me branle souvent en y pensant ! Mes draps sont comme les tiens, pleins de sperme !
Depuis le temps que je travaille dans l'hôtel, je rencontre beaucoup de jeunes garçons et je pense à ces garçons qui se branlent des leurs lits, comme je change les draps, la plupart dégoulinent de sperme de jeunes garçons et a m'excite terriblement ! Quand je rentre dans ma chambre je me branle en pensant à ces garçons qui jutent un océan de sperme ! Une fois, en passant devant la chambre d'un jeune garçon, la porte d'était pas fermée et j'ai regardé, il était couché sur son lit, il se branlait, haletant, et dirigeait son canon vers son visage, il ouvrait la bouche et brusquement, plusieurs jets ont jailli et atterri dans sa bouche ouverte, très vite j'ai couru vers ma chambre et je me suis branlé en le revoyant ! J'ai essayé de juter dans ma bouche comme lui et mon sperme a atterri dans ma bouche, comme lui ! C'était un garçon très vicieux et en l'imitant ça m'a fait une impression géniale : sentir mon sperme gicler dans ma bouche, je l'ai avalé : terrible !

- Ça t'excite, ce que je dis !
- Oui ! Tu te fais jouir sans arrêt ! Tu m'excites terriblement !
- J'aime ça ! ça me fait bander de t'exciter !
Fais Jean Michel en serrant mon épieu brulant, je branle sa bite raide, il me dit :
- Oui, branle-moi, fais-moi juter !
Me penchant sur sa bite, ma langue titille son gland, il fait :
- Ouh ! C'est booon ! Continue !
D'un coup de reins, sa bite pénètre dans ma bouche et commence à aller et venir, il halète :
- H !....H !...JE VAIS... AH !...JE VIENNNS !
Sa bite tressaute et se gonfle entre mes lèvres un torrent de sperme gicle dans ma gorge, au même moment je jouis à grands jets dans sa main en criant :
- JE T'AIME !

Je ne connaissais pas Jean Michel, ce magnifique garçon d'hôtel qui me raconte ses aventures bandantes, et voilà que j'avale son sperme avec délice ! Je l'embrasse, mes lèvres dégoulinent de son sperme qu'il goute à son tour.

Le lendemain, il revient dans ma chambre et sans dire un mot il se déshabille et me rejoint dans mon lit, nous nous embrassons, bites raides, et nous nous faisons jouir pendant des heures, nous baignons dans notre sueur et notre sperme, mais c'est lui qui enlève les draps !
Je rentrerai chez moi et me branlerai tous les jours en pensant à lui, mais je reviendrai souvent à Paris retrouver Jean Michel !