Nous avions dix neuf ans, cet été là, nous sommes partis quelques jours en vacances.
Nous avons pris une chambre dans un petit hôtel, deux lits accolés, -Lequel prends tu ? Dis- je à mon copain qui se dirige vers le lit près de la fenêtre et s’y étend. Satisfaits de la petite chambre, nous sortons et visitons les environs, nous rentrons le soir à l’hôtel et nous nous couchons, nous éteignons la lampe, J’épie la respiration de mon copain Jean Pierre, un beau garçon au visage bronzé et à la bouche sensuelle, Nous avons parfois pris quelques privautés en nous embrassant dans le cou et sur la bouche, mais sans plus. Je le désirais et souvent je bandais en pensant à lui. J’écoute sa respiration et dans la lumière da la fenêtre je le regarde, Il me dit :-Tu dors ?
-Non
Il se tourne vers moi :-Moi non plus...Et...je bande !
Il s’étend sur son lit, je le vois qui descend son slip et disant :-J’ai envie de me branler, je ne me suis pas fait jouir aujourd’hui!
Il soupire, je le vois dans la pénombre saisir sa bite et sa main aller et venir sur cette hampe qui finit par durcir et s’allonger, à cette vue ma bite durcit et je commence aussi à me branler, je l’entends soupirer et haleter, il pousse de petits « Ah ...Ah ... « Je n’en peux plus de l’entendre, Il est sur le point de jouir sans moi qui bande à mort pour lui ! Excité, n’en pouvant plus, Je lui dis :-Jai envie de me branler aussi !
Il murmure alors :-Viens !
Enfin ! Bite dressée, je me débarasse de mon slip et le rejoins dans son lit, son corps est chaud, il écarte les jambes et sa cuisse chaude se colle à la mienne, sa main monte est descend de plus en plus vite sur sa hampe ; il commence à haleter :-H !...Qu’est ce que j’ai envie de jouir, moi !...H !....C’est bon !...Et toi ?
En me disant ça, il saisit me main qui va et vient sur ma bite raide comme jamais, il murmure :-Ah, Qu’elle est bien dure ! Laisse-moi faire !
Il écarte ma main pour serrer mon épieu dans la sienne qui commence à aller et venir,
Il me dit :-Viens, branle ma bite, on va le faire ensemble !
Je serre à mon tour sa bite chaude et raide, il fait :-Oui, Branle moi ! C’est bon !
Ma main sur sa hampe, la sienne sur la mienne, nous branlons nos deux bites chaudes, nous haletons :-H !...C’est booon ! Plus viiite ! ...H !...OUIII !....JE...JE VAIS....H ! VENIR !
D ans la pénombre je vois son visage qui commence à transpirer, de gouttes de sueur sur les ailes de son nez m’excitent, je le désire plus encore et ma main serre sa hampe et mon poing va et vient de plus en plus rapidement
Mes doigts sentent monter le sperme dans sa hampe, j’approche mes lèvres de son gland et ouvre la bouche, J’accélère mes allées et venues, il n’en peut plus et crie :-H !...PLUS VIIITE !...H !...AHHH !...JE JUUUTE !
Et un torrent de sperme gicle sur ma langue et dans ma bouche encore et encore !
Il se penche sur mon épieu en disant :-H !...Viens que je suce ta bite !
Et il introduit mon gland entre ses lèvres, cela suffit pour déclencher mon orgasme et mon jus gicle dans sa bouche.
Nous nous embrassons goulûment, le sperme dégouline sur nos lèvres et bouche contre bouche nous nous endormons enlacés dans l’odeur de sperme qui coule encore sur nos visages.
Le lendemain matin il me dit :-Qu’est ce que c’était bon, cette nuit ! Vivement ce soir qu’on recommence !
Frank
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